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es yeux agrandis, aux pieds d’une femme qui ne le
regarderait
pas, qui aurait l’air seulement d’écouter autre chose… En vérité le m
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nse salon où beaucoup de gens debout, silencieux,
regardent
quelque chose qui se passe au centre de la pièce. Il y a là dans un e
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qui devient pâle et s’adosse à une colonne, — me
regarde
avec un reproche… Moi aussi, j’ai perdu pied. Ils sont toujours plus
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ministres en retraite que de fauteuils. Et on me
regarde
. J’ai beau feindre l’intérêt le plus singulier pour ce château sur la
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sur un banc humide, — juste de quoi s’étendre, et
regarder
jaillir sans fin contre soi l’eau de ce beau Danube jaune qui est le
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les filles qui chantent une chanson populaire et
regardent
tristement les lumières. Il y en a aussi qui se réchauffent sur les d
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randiose bavardage des Tziganes. Qu’est-ce qu’ils
regardent
en jouant ? Qu’est-ce qu’ils écoutent au-delà de leur musique — car a
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t presque partout la même… — Mais en voyage on la
regarde
mieux. — La vie… (une sorte de cauchemar pensé, qui ne peut plus s’ar
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l’eau Tu es appuyée debout contre moi, et nous
regardons
à nos pieds l’eau vivante. La brume est proche. Une haute muraille de
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mille de géants, debout sur un seuil solennel, me
regarde
piquer du nez à l’arrêt brusque. Ici règne le plus ancien, mais le de
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et, tout près d’ici. Vont-elles sentir que je les
regarde
? Vraiment la plus petite est jolie, très brune, avec un gros collier
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à nos sens leur efficacité et leur étonnement. Je
regarde
les feuilles de ma salade d’un autre œil, depuis que je lis Paracelse
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es corridors, pendant toute la nuit, et qu’on n’y
regarde
pas à quelques kilowatts. Je veux être mis en bière dans mes habits d
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r subi une sorte d’affront, en même temps. — « Ne
regardez
donc pas mes mains, je dois faire le ménage ces jours, la peau devien
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erme son magazine d’un coup, ôte ses lunettes, me
regarde
avec des yeux écarquillés. « Maintenant, dit-il (et l’on sent qu’il p
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s noirs des lampions et des touffes de gamins qui
regardent
avec la bouche ce qui se passe à l’intérieur d’une enceinte de toiles
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ivante, rêve de nous. Plus tard, nous nous sommes
regardés
sans fin. (Ah ! comment dire ! Vraiment ce fut cette nuit.) Un vent l
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encore une gare en géraniums, et il faut bien la
regarder
, la vivre un moment. Ce train paraît destiné à la réquisition de l’él
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ui faire place. Je sens que les deux ouvrières me
regardent
. Elle, sans doute, ne veut pas trop choisir, ni surtout me choisir, —
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uvement. Les uns écrivent, d’autres déjeunent. Je
regarde
par mon hublot. La mer est blanche, un peu houleuse et cotonneuse. Ma
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y découvrir, à mon retour, que jamais je n’ai su
regarder
? On lui dit : — Vous êtes Suisse ? Vous en avez de la chance ! Mais
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uées et daguerréotypes. Que sais-je d’eux, qui me
regardent
? Cette aïeule au visage émacié, coiffé de longues boucles noires, j’
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ons entre nous d’un air grave, d’un air de ne pas
regarder
les filles qui passent, mais je la vois venir de loin. Elle porte un
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émissait, immobile et terrorisé. Nous nous sommes
regardés
un moment, de tout près. Un seul geste rapide eût suffi pour l’attrap