1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
1 es yeux agrandis, aux pieds d’une femme qui ne le regarderait pas, qui aurait l’air seulement d’écouter autre chose… En vérité le m
2 nse salon où beaucoup de gens debout, silencieux, regardent quelque chose qui se passe au centre de la pièce. Il y a là dans un e
3 qui devient pâle et s’adosse à une colonne, — me regarde avec un reproche… Moi aussi, j’ai perdu pied. Ils sont toujours plus
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
4 ministres en retraite que de fauteuils. Et on me regarde . J’ai beau feindre l’intérêt le plus singulier pour ce château sur la
5 sur un banc humide, — juste de quoi s’étendre, et regarder jaillir sans fin contre soi l’eau de ce beau Danube jaune qui est le
6 les filles qui chantent une chanson populaire et regardent tristement les lumières. Il y en a aussi qui se réchauffent sur les d
7 randiose bavardage des Tziganes. Qu’est-ce qu’ils regardent en jouant ? Qu’est-ce qu’ils écoutent au-delà de leur musique — car a
8 t presque partout la même… — Mais en voyage on la regarde mieux. — La vie… (une sorte de cauchemar pensé, qui ne peut plus s’ar
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Le balcon sur l’eau
9 l’eau Tu es appuyée debout contre moi, et nous regardons à nos pieds l’eau vivante. La brume est proche. Une haute muraille de
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
10 mille de géants, debout sur un seuil solennel, me regarde piquer du nez à l’arrêt brusque. Ici règne le plus ancien, mais le de
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
11 et, tout près d’ici. Vont-elles sentir que je les regarde  ? Vraiment la plus petite est jolie, très brune, avec un gros collier
12 à nos sens leur efficacité et leur étonnement. Je regarde les feuilles de ma salade d’un autre œil, depuis que je lis Paracelse
13 es corridors, pendant toute la nuit, et qu’on n’y regarde pas à quelques kilowatts. Je veux être mis en bière dans mes habits d
14 r subi une sorte d’affront, en même temps. — « Ne regardez donc pas mes mains, je dois faire le ménage ces jours, la peau devien
15 erme son magazine d’un coup, ôte ses lunettes, me regarde avec des yeux écarquillés. « Maintenant, dit-il (et l’on sent qu’il p
16 s noirs des lampions et des touffes de gamins qui regardent avec la bouche ce qui se passe à l’intérieur d’une enceinte de toiles
17 ivante, rêve de nous. Plus tard, nous nous sommes regardés sans fin. (Ah ! comment dire ! Vraiment ce fut cette nuit.) Un vent l
18 encore une gare en géraniums, et il faut bien la regarder , la vivre un moment. Ce train paraît destiné à la réquisition de l’él
19 ui faire place. Je sens que les deux ouvrières me regardent . Elle, sans doute, ne veut pas trop choisir, ni surtout me choisir, —
6 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
20 uvement. Les uns écrivent, d’autres déjeunent. Je regarde par mon hublot. La mer est blanche, un peu houleuse et cotonneuse. Ma
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
21 y découvrir, à mon retour, que jamais je n’ai su regarder  ? On lui dit : — Vous êtes Suisse ? Vous en avez de la chance ! Mais
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
22 uées et daguerréotypes. Que sais-je d’eux, qui me regardent  ? Cette aïeule au visage émacié, coiffé de longues boucles noires, j’
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
23 ons entre nous d’un air grave, d’un air de ne pas regarder les filles qui passent, mais je la vois venir de loin. Elle porte un
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
24 émissait, immobile et terrorisé. Nous nous sommes regardés un moment, de tout près. Un seul geste rapide eût suffi pour l’attrap