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plus grave, qui transparaît parfois et nous fait
regretter
que l’auteur ne se soit pas mieux abandonné à son sujet, d’un pathéti
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mais cela même ne manque pas de naturel… On peut
regretter
que ce livre ne réalise pas une synthèse plus organique du roman et d
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les mythomanes. Le cas méritait d’être exposé. Je
regrette
seulement que Daniel-Rops se soit borné à une courte nouvelle, d’aill
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thousiasme sacré que requiert l’œuvre de Rimbaud.
Regrettons
seulement qu’il n’élargisse pas plus une question aussi centrale — qu
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is, je crains bien, jamais je ne parviendrai à le
regretter
… » L’ironie indulgente et cette pitié à peine jalouse que l’on réserv