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is, je crains bien, jamais je ne parviendrai à le
regretter
… » L’ironie indulgente et cette pitié à peine jalouse que l’on réserv
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vec) que l’homme éprouve pour ses victimes : « Je
regrette
vraiment beaucoup, mais il faut que je vous mange. Dure nécessité, et
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veillées fiévreuses, assiégées. Est-ce que je les
regrette
? Est-ce que l’heure de la nuit où l’on ne dort pas n’est pas toujour
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ble, mais c’est ce que vous m’avez coûté. — Je le
regrette
pour vous, cher monsieur, mais vous auriez dû le prévoir dès le début
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qui croient connaître « leur » Révolution, ou qui
regrettent
qu’elle ait été trahie avant d’avoir accompli ses promesses. Qu’oppos
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eau courage. — Non, monsieur, je ne crois pas, je
regrette
… Nous parlerons encore du diable. C’est ainsi. Entre nous, rien n’est
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fait, tout simplement. Les délégués paraissaient
regretter
« l’atmosphère de Genève » plus que leur job manqué, d’ailleurs repri