1 istingue donc radicalement du mythe. Sa valeur ne relève en effet que du talent de son créateur. Ce qui importe en elle, c’est

2 cieux » n’appartient ni à l’un ni à l’autre, mais relève d’une puissance étrangère, indépendante de leurs qualités, de leurs d

3 uvoir social, l’obstacle légal, objectif. Tristan relève ce défi : d’où le rebondissement de l’action. Et ici le mot prend un

4 dans tels lieux bien définis ; ou bien tout cela relève d’une cause historique précise — mais alors il s’agit de savoir pour

5 e. On peut imaginer que les thèmes que nous avons relevés chez les poètes provençaux entretiennent avec le néo-manichéisme des

6 rdies, il y a du reste une erreur de fait aisée à relever  : qu’à la longue, la chanson se soit vidée de son contenu initial, n’

7 x que Tu aimes » (Prière). Mais il faut également relever que Peire Cardenal, vrai cathare, se montre sévère pour la « courtois

8 gression d’une vie mystique. Certains « moments » relèvent de la pure tradition cathare, d’autres peuvent être rapprochés d’une

9 nce, et sur la foi du seul langage, que tout cela relève d’une déviation sexuelle. Et l’on sait que les conclusions des savant

10 n revêtir l’Agapè ! ⁂ Quant à la psychologie dont relèverait cette préférence pour le langage passionnel, elle a été interprétée g

11 a tradition secrète des troubadours. Mais on peut relever ce fait : que Vérone fut un des principaux centres du catharisme en I

12 ! Il s’imagine de très bonne foi qu’un tel besoin relève de la nature physique. (Et il a même là-dessus sa petite explication

13 de Gottfried de Strasbourg. 150. Nous avons déjà relevé l’influence de cette littérature sur sainte Thérèse et les mystiques

14 lus obsédante. Ainsi la « liberté » de la passion relève des statistiques publicitaires. L’homme qui croit désirer « son » typ

15 réel, d’enseigner aux jeunes gens que leur choix relève toujours d’une sorte d’arbitraire, dont ils s’engagent à assumer les

16 du péché. Et voici que l’Éros à son tour se voit relevé de sa fonction mortelle et délivré de son destin. Dès qu’il cesse d’ê