1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
1 , ta voie est fuite » ? De quelle yâna bouddhique relève celui qui a dit : « Il faut que tu aimes Dieu comme non-Dieu, non-Esp
2 ate du xe siècle, le second du xiie siècle. 7. Relevons qu’Avicenne et le mystique soufi écrivaient tous les deux dans cette
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
3 lement sa transgression. La faute commise ne peut relever ni de l’opinion, ni d’un jury. Elle est plutôt comme une grossière er
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
4 nt celles qui importent à l’homme, parce qu’elles relèvent de sa foi, de son action ou de son sentiment. Ainsi l’amour : il n’es
5 ire qu’il n’a pas arrêtée, mais dont il a pris la relève . Il est intervenu dans une suite dialectique, non comme sa conclusion
6 ’un espoir commun. Mais le parallèle s’arrête là. Relevons d’abord deux différences de fait. On a cru pouvoir comparer les chrét
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
7 stituait un nouvel ordre qui bientôt prendrait la relève de l’Empire défaillant. Mais les premiers chrétiens sont restés « con
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
8 t bouleversée qu’aux débuts de notre xxe siècle. Relevons ici que la chronologie vertigineuse des Hindous ne s’appliquait qu’au
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
9 rivée d’objectifs à long terme, elle ne peut plus relever que de la morale courante, de ses règles abstraites ou coutumières. M
7 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
10 s de la Science et de la Technique qu’on vient de relever .