1 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
1 cifiquement européen. Quant aux éléments communs, relevons  : a) Les civilisations que nous continuons. — Égypte, Mésopotamie, Cr
2 ersité ; – problèmes économiques, en tant qu’ils relèvent de l’initiative privée, ou de la commune et de la région, d’un plan n
3 sociaux, écologiques et culturels, en tant qu’ils relèvent de la région, de la nation, de l’Europe unie ou de communautés électi
4 r l’uniformité. 24. Où sont les candidats à la relève  ? Aux prophètes de la décadence européenne, j’opposerai trois rais
5 raison : On ne voit pas de candidats sérieux à la relève d’une civilisation devenue mondiale. Nous connaissons les circonstanc
6 es de « barbares » mal connus. Les candidats à la relève étaient nombreux. En est-il un seul aujourd’hui qui réclame l’oblitér
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
7 on unitaire. Mais les ordinateurs vont prendre la relève . Si la révolution communiste, c’était le marxisme plus l’électricité,
8 vait bien vu le regretté Pierre Duclos, lorsqu’il relevait que « le fédéralisme vit d’une vie que la forme institutionnelle déno
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
9 s et non sur les États-nationsb, j’ai été amené à relever et à classer les objections les plus fréquentes à l’entreprise qui fa
10 rres et les calculs des arpenteurs. — Tout ce qui relève du domaine public (économie, politique, enseignement, fiscalité, défe
11 fédéral, ou gouvernement de l’Europe. Les régions relèveront , selon leur définition — économique, écologique, culturelle —, de l’A
12 s de l’administration polyarchique de ses réseaux relèveront de la logique des ensembles (notions d’inclusion, d’exclusion, d’inte
13 ne crise violente, mais tout au plus à prendre la relève , ici ou là, du centre stato-national progressivement tombé en désuétu
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte, suite et fin
14 estation de la jeunesse, dans le monde entier, ne relève pas de l’économie, et encore moins de la politique au sens étroit et