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t en évidence : que le fait hitlérien est un fait
religieux
. Oui. Cela a été déjà beaucoup dit. N’importe. Il ne faut pas craindr
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ependant, tout ne s’explique pas par le sentiment
religieux
dans l’hitlérisme. La politique, l’économie, jouent leur rôle aussi.
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Il est clair que le phénomène Hitler est d’ordre
religieux
, non politique d’abord. Si ce petit individu sans qualités ni défauts
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e L’Amour et l’Occident , consacrés aux origines
religieuses
du mythe, à passion et mysticisme, au mythe dans la littérature, à l’
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siècle décisif de notre histoire, un grand drame
religieux
au seuil de la Réforme, — et déjà des dialogues esquissés, ces relati
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lluminés, c’est-à-dire l’individualisme social et
religieux
. Calvin combat les deux tendances non point pour des raisons politiqu
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tude qu’il prend vis-à-vis de l’Église et du fait
religieux
en général. Un régime est totalitaire lorsqu’il prétend centraliser r
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on politique, ou encore en une politique d’allure
religieuse
. Et d’autant plus que la religion qu’il adopte est, comme dans le cas
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débutant. La religion politique, ou la politique
religieuse
du fascisme, a créé le type même d’une communauté régressive, c’est-à
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e que par prudence. Les adversaires politiques ou
religieux
, chez nous, ne se fréquentent pas, ne se parlent pas, et souvent ne s
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erre, enfin, parce que notre diversité raciale et
religieuse
risquerait d’entraîner la dislocation de notre fédération, si nous ve
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n groupe d’activités apparentées, ou une tendance
religieuse
, ou des intérêts corporatifs. Sur la base de programmes restreints, b