1 tionalisme12 a déprimé depuis des siècles le sens religieux des Occidentaux. Car non content de combattre et d’évacuer les coutum

2 on content de combattre et d’évacuer les coutumes religieuses périmées (c’était son droit et son devoir), il s’est méthodiquement r

3 ci protestant, mais sans la foi). Or les coutumes religieuses quelles qu’elles soient, sacrifices, fêtes, orgies ou jeûnes, discipl

4 ains intellectuels incrimineront alors l’instinct religieux , cette « survivance ». Et nous lirons encore des jérémiades sur le dé

5 ables, basses classes, races inférieures, besoins religieux qualifiés de superstitions. 10. L’expression psychological warfare e

6 on de personne. Quelles que fussent les prémisses religieuses ou métaphysiques des diverses tendances personnalistes, tous s’entend

7 nde, et la légende sacrée convoie un enseignement religieux . L’épopée perpétue ensuite le souvenir des héros de la tribu. Mais à

8 arcanes représentent, grosso modo, les autorités religieuses et sociales au Moyen Âge, et quelques-unes des situations élémentaire

9 tribué à moins de fanatisme de la part des masses religieuses , ou à plus d’indifférence de la part des masses « éclairées », comme

10 s, transportées jadis ou naguère par des réfugiés religieux . Mais les Américains changent facilement d’église, selon leur domicil

11 accepte de se faire tuer non point par fanatisme, religieux , comme le Japonais, ni par esprit quasi sportif comme l’Américain, ma

12 conscient, résidu des plus solennelles traditions religieuses de l’Occident. C’est pourquoi les Français avancent sous le feu de l’