1 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
1 de la morale peuvent exister sans leur substance religieuse .) L’homme moderne manie les choses de l’âme avec une maladresse de ba
2 que l’envie. Mauvais travail. Il a perdu le sens religieux , cosmique, de l’effort humain. Il ne peut plus situer son effort indi
2 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
3 technique spirituelle8 indépendante de toute fin religieuse particulière, antérieure à n’importe quel dogme. Je ne crois pas qu’i
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
4 entir la force neuve perpétuellement de la vérité religieuse . Il parle des religions avec une incroyable légèreté, — en littérateu
5 eux du « séculariste », bien entendu, la question religieuse apparaît comme périmée. Avec M. Brunschvicg, il pense qu’un homme de
6 e est inévitablement coincé entre une philosophie religieuse concrète d’une part, et le matérialisme historique de l’autre. La pr
4 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
7 n véritable renouvellement de la peinture à sujet religieux qu’annonce cette grande composition : trois longues croix dans une lu
8 préside à l’élaboration d’une œuvre. Pas de style religieux sans doctrine. Et plus la doctrine se relâche et s’estompe, moins l’a
5 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
9 ation. (Dans le cas de Baring, elle serait plutôt religieuse .) Il est incontestable que l’art a tout à gagner à se choisir un cadr
10 ce, dit-elle, aucune pression sur ses convictions religieuses . Mais le mot conviction ne doit être pris ici qu’au sens le plus conv
11 e, « une façon naturelle de traiter les questions religieuses , sans fausse honte ». (Seuls, parmi les catholiques, son mari et sa t
12 i retiennent l’esprit à la périphérie des vérités religieuses , là où elles paraissent s’opposer, au lieu de nous aider à les mieux
13 omptent parmi les chefs-d’œuvre de la littérature religieuse . Celui de La Princesse Blanche 20 donne sans aucun doute l’accord le
14 faut souligner cette insuffisance du vocabulaire religieux . 19. Soulignons qu’un pasteur ne parlerait pas autrement. 20. Pages
6 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
15 uvre de Kierkegaard dans le monde intellectuel et religieux français, est un événement qui mérite d’être signalé et qui aura un p
16 culier dans la Revue d’histoire et de philosophie religieuses de Strasbourg (Pascal et Kierkegaard), et dans la Revue de métaphysiq
7 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
17 en main, des mobiles personnels, affectifs, voire religieux , qui sont à l’origine de son entreprise. C’est même un des malheurs d
18 ts considérables de l’œuvre sociale, politique et religieuse suscitée par Kagawa. Nous savions que ce pasteur d’une petite paroiss
8 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
19 ement et formidablement sur ses bases sociales et religieuses . Ah ! comme tout cela est juste et net, parfaitement exprimé et mûri.
9 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
20 oi »31. Quoi qu’il en fût d’ailleurs de la portée religieuse des trois œuvres, l’on se sentait tenté de marquer ici d’une pierre b
21 , d’abord, céder à la tentation d’un nationalisme religieux plus injustifiable que l’autre ? Je sais bien que certains « protesta
22 apables de transporter dans ce décor les dilemmes religieux d’une vie intérieure que l’on sent parfois sous-jacente, mais trop ti
23 sme de la forme, mais jamais rien d’explicitement religieux  : cela n’a point empêché ces trois romans de faire figure, aux yeux d
24 dessèchement distingué de notre art. Toute forme religieuse donne lieu à des formes d’art qui manifestent ses traits spécifiques.
25 ent la citation de F. Münch relative à la musique religieuse d’Honegger. m. « Romanciers protestants », Foi et Vie, Paris, n° 34,
10 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
26 ensée raisonnable qu’avec leur première sensation religieuse , et croient qu’on ne peut aller plus loin parce qu’ils ignorent tout
27 oir produit chez le poète une sorte de sécheresse religieuse . Ce qui à l’origine, n’était qu’humilité de la raison devant l’insond
28 nature même de l’homme et l’ensemble des données religieuses . Mais, d’autre part, il faudrait un libéralisme dont nous nous senton
29 traire au scandale chrétien, que gît la faiblesse religieuse de sa position. Ce qui, plus que tout, fait défaut à ce génie, c’est
11 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
30 om de valeurs tout intemporelles qui, n’étant pas religieuses , sont donc abstraites. Il ne suffit pas de dire à ses contemporains q
12 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
31 es séries sur la psychanalyse et sur les penseurs religieux , Corrêa publie presque exclusivement des « écrivains d’idées », les É
13 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
32 affirmait qu’il n’était qu’un « poète à tendance religieuse  » et non pas un « témoin de la vérité » ; c’est qu’il se faisait du c
14 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
33 gagner ce dernier gage, les habitudes de l’esprit religieux leur font concevoir une Âme du Monde qu’ils se figurent (mais sans fr
15 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
34 rir, ne plus pouvoir renaître ? La contemplation religieuse du monde sans l’acuité et la profondeur de l’intellect fait de la rel
16 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
35 e tous les siècles pour soutenir le libre arbitre religieux , c’est-à-dire le pouvoir qu’aurait l’homme de contribuer à son salut
17 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
36 difficultés économiques, sociales, politiques et religieuses , ils se dégagent avec d’autant plus de simplicité qu’ils ont atteint
37 ndividualisme anarchisant. Conflit idéologique et religieux entre l’unité imposée et la division irréfléchie, entre la centralisa
38 tyrannie et l’anarchie. Du conflit idéologique et religieux résultent des mises au pas de plus en plus indiscrètes et des schisme
39 rale et civique s’appelle personnalisme. La santé religieuse s’appelle œcuménisme. Nous allons définir ces trois termes en insista
40 l’on peut toujours adhérer à divers groupes, l’un religieux , l’autre social, le troisième culturel ou politique, ou professionnel
41 oupes d’exemples de cette précédence des facteurs religieux . Voilà le premier. A-t-on remarqué qu’il existe une forme de totalita
42 rer : 1° que la connaissance intime des processus religieux dans un pays donné fournit une clé des processus politiques qui s’y m
43 œcuménique peut et doit exercer sur ces processus religieux , préparera le terrain pour une action politique réaliste, c’est-à-dir
18 1977, Foi et Vie, articles (1928–1977). Pédagogie des catastrophes (avril 1977)
44 unauté, donc des régions, sans adopter l’attitude religieuse que suggère malgré tout le terme de conversion ? Ou que la religion n
45 her sans impliquer des décisions métaphysiques et religieuses quant au rôle de l’homme sur la Terre et quant à ses options de base 
46 fants de Dieu ». Si l’on exclut de la « sphère du religieux  » le drame de l’humanité menacée par ses propres erreurs et menaçant
47 eu de matière, que reste-t-il dans la « sphère du religieux  » ? La casuistique ? Mais à l’inverse, si l’on exclut de notre drame