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es réaliser en obéissance. ⁂ En face d’une pensée
religieuse
qui s’épuise et se disqualifie dans ses efforts pour concilier la rév
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peut délivrer d’eux-mêmes ; en face d’une pensée
religieuse
qui, pour tout dire, trahit sa mission de scandale, et tente lâchemen
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ter sur nos actions, nos doctrines et notre « vie
religieuse
» ? Il y a la mort, et notre acceptation de cette mort. Et qu’y a-t-i
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Par ailleurs, elle pourrait être aussi laïque ou
religieuse
qu’on voudrait. Mais l’individu a vécu, nous dit-on… Il faut craindre
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egaard revient, dans toutes ses œuvres proprement
religieuses
, sur la notion de « contemporanéité » avec le Christ. Toute la polémi
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le développement de la tradition, l’accoutumance
religieuse
nous faciliteraient cette reconnaissance, et se substitueraient ainsi
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us ne pouvons nous empêcher, après tant d’auteurs
religieux
— qui ne sont pas tous américains — de nous représenter un « Jésus-ho
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, aux psychologues, aux partisans de l’expérience
religieuse
« sentie et vécue ». Mais si c’est le péché qui nous sépare de Christ
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ent littéraire18, ou sous la forme de méditations
religieuses
, ou même sous forme de sermons, sont par eux-mêmes absolument vains,
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r, vis-à-vis de cette jeunesse ! J’étais un homme
religieux
, et c’est cela que je suis resté. Je l’affirme solennellement ! Toute
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s qu’une pâle idée. Il affirme qu’il est un homme
religieux
. Il a raison ! La seule religion qui tienne, c’est la religion vécue,
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ience par d’autres expériences qu’ils appellent «
religieuses
». Vous voyez bien qu’ils cherchent à se rassurer, à grand renfort d’
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à des expériences, n’est-ce pas ? Et l’expérience
religieuse
de ce grand docteur de l’Église avait bien su les reconnaître. C’étai
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squ’aux moelles, et que c’est là notre expérience
religieuse
, proprement dite. Mais nous avons le devoir et la mission de proclame