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rrière des mots comme religion, piété, expérience
religieuse
, problème de Dieu. Il n’en faut pas plus pour que se lèvent de toutes
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avec une insistance significative, que les hommes
religieux
, prêtres et pharisiens, ont toujours été les premiers à refuser, sous
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polémique de la Bible au contraire, vise le monde
religieux
, qu’il soit placé sous le signe de Baal ou de Yaveh. » La Bible nous
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» La Bible nous parle-t-elle de ces « expériences
religieuses
» sur lesquelles les modernes exercent leurs psychologies et leurs ra
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e cette foi n’est pas le couronnement de sa « vie
religieuse
», mais le don gratuit que Dieu fait à tout homme qui n’a plus d’autr
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ustes », mais bien aux condamnés à mort.) L’homme
religieux
qui se refuse à cette mort, se refuse aussi à la vie. Il meurt de ne
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r, entre l’auteur d’Adolphe et celui des Discours
religieux
, par exemple, cet excellent Toepffer dont on peut espérer qu’il les f
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nt : celle de l’histoire et celle de l’expérience
religieuse
. Prendre la voie de l’histoire, c’était d’abord chercher à s’approche
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éparent de l’Évangile. Du même coup, l’expérience
religieuse
, dialogue vivant avec le Christ des évangiles, se réduisait à une con
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sement du problème. Calvin ne fonde pas notre vie
religieuse
sur notre amour pour Jésus-Christ — amour dont il nous sait tout inca
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uction : « Je suis et j’ai toujours été un auteur
religieux
; toute ma carrière littéraire se rapporte au christianisme, et en pa
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s populaire de son pays, une puissance sociale et
religieuse
dont l’Occident ne connaît pas d’exemple. Un récit autobiographique e
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e l’abbé Bremond appelait l’histoire du sentiment
religieux
, et il nous sera permis de souhaiter que cette lacune suscite un Brem
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comme chez Hitler, ce n’est pas un souci d’unité
religieuse
qui domine : la religion leur est simple prétexte ; mais il s’agit d’
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ut processus psychique, il précise : l’expérience
religieuse
ne devient proprement chrétienne qu’en tant qu’elle reconnaît que son
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ble, absolument insignifiants quant à la doctrine
religieuse
: voilà tout ce qui nous est accessible d’une œuvre dont on sait pour
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articulière, qui est la négation du libre arbitre
religieux
, c’est-à-dire du pouvoir qu’aurait l’homme de gagner le salut par ses
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tion des puritains, mais aussi tout l’absolutisme
religieux
du Brand d’Ibsen, de Kierkegaard, de Luther. Et à côté du fanatique,