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terminer une suite d’actes. Dilemme, en son fond,
religieux
. C’est une forme dialectique, « agonique », de la vie de l’âme, une f
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sition de Kierkegaard et de Hegel dans le domaine
religieux
. Elle traduira demain l’opposition des nations collectivistes et des
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que remède. C’est comme la genèse individuelle et
religieuse
de ce fait trop actuel, qu’Albert-Marie Schmidt nous restitue au cour
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ser, c’est s’engager dans l’aventure politique ou
religieuse
. Au grand Hegel qui philosophe « au dimanche de la vie » au-dessus du
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ittéraire en même temps que par notre scepticisme
religieux
. Une telle disposition d’esprit nous incite à séparer ce qui était li
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arrière de poète et de philosophe « à orientation
religieuse
» avait en effet préparé le climat et la juste portée de ces attaques
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ourd’hui parmi nous. Et la publication des écrits
religieux
entreprise par M. Paul Tisseau y contribuera certainement. Les graves
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its volumes de « discours édifiants » et d’essais
religieux
: La Pureté du cœur, Le Droit de mourir pour la vérité, Pour un exame
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Pureté du cœur. La plupart des écrits proprement
religieux
de Kierkegaard développent ce thème et l’illustrent de la façon la pl
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y répondre par des mots ? Plusieurs des Discours
religieux
ayant pour objet de « préparer à la Communion », je ne vois pour ma p
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bin) de la dictature totalitaire : l’impérialisme
religieux
, ou sacral. Il exigea d’entrer en armes et sur le champ dans les terr
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it-ce qu’il n’a jamais rencontré que des hommes «
religieux
», non des chrétiens vivant selon la foi et capables de lui faire pre
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e paraît nouveau, constamment occupé de problèmes
religieux
. Mais d’une manière qu’il importerait de spécifier. ⁂ A-t-on remarqué
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audrait voir que pour lui, le problème proprement
religieux
s’est posé, et se pose encore, dans des termes qui échappent, presque
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son horreur congénitale des tours de passe-passe
religieux
. En somme, tout son effort consiste à se délivrer de cela même que ce
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ois, il orientera la conversation vers des sujets
religieux
ou même théologiques, comme si c’était précisément pour m’en parler q
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d’hommes m’ont donné l’impression que le problème
religieux
existait dans leur vie en tant que problème permanent. Écarté, refoul
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it, pour lui, problème. Gide avait peu d’instinct
religieux
, et moins encore de goût pour la métaphysique. Il préférait ce qu’il
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s le christianisme et son mystère. Peu d’instinct
religieux
chez cet homme, alors que le christianisme, l’Église et l’Évangile, f
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qui l’a vraiment torturé, c’est l’éthique, non le
religieux
; la justice et non le salut ; ce que l’on vit et comment on juge, no
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rprétées par un Parti. C’est pourquoi le problème
religieux
, tel qu’il se pose au monde christianisé, et à lui seul, libéré de l’
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même Kitaro Nishida qui écrit ceci : « La valeur
religieuse
signifie l’absolue négation du moi », ajoute trois pages plus loin «
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. En voici deux exemples extrêmes. Le masochisme
religieux
, ou haine de soi. Dans son langage dramatique, saint Paul parle parfo
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Montagne. On aura tort. Car les grandes doctrines
religieuses
de l’Asie n’ont jamais été révolutionnaires. Elles n’ont jamais préte
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e immense transposition sur les plans poétique et
religieux
du Second principe de la thermodynamique. L’autre moitié de l’humanit