1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
1 ses luttes sociales et morales, scientifiques et religieuses , ce fut toujours la raison raisonnante, méfiante et organisatrice. Et
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
2 e cette base philosophique, cette espérance quasi religieuse , cette conscience d’aller dans le sens d’un grandiose Progrès de l’es
3 ils le justifieront dans l’absolu, comme un idéal religieux , comme un Dieu, mais un dieu vérifiable, comme une Providence plus ri
3 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
4 utre chose. Israël portait dans son sein l’avenir religieux du monde. Dès qu’il était tenté de s’oublier dans les voies vulgaires
4 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
5 angoisse, et l’inauguration d’un Troisième Empire religieux , synthèse monumentale et invincible de la force et du rêve obscur des
6 e Parti les définit.   Attitude philosophique et religieuse . — Il n’est plus nécessaire d’insister sur la direction générale de l
5 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
7 ce problème, qui est un problème métaphysique et religieux , nous nous condamnons en même temps à ne jamais le résoudre totalemen
6 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
8 encore, derrière les grandes façades aux symboles religieux et orgueilleux, je retrouve la misère matérielle. Car à toutes les ob
9 , mais ils ont répondu à une attente universelle, religieuse  : l’attente d’une nouvelle mesure, d’une nouvelle image du monde où l
10 x peut influencer, à force égale, les révolutions religieuses qui dressent leurs monuments sacrés à l’Est. Pour le présent, notre d
7 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
11 e théologien moderniste ou libéral : l’expérience religieuse et la conscience que l’on en prend ; la réalité des fins dernières et
12 u fond de toute l’affaire, il s’agit d’un mystère religieux , d’une décision proprement religieuse. Mais il n’est pas encore temps
13 d’un mystère religieux, d’une décision proprement religieuse . Mais il n’est pas encore temps d’en parler. Je voudrais faire ici, t
14 ible de fixer les idées du lecteur, même le moins religieux . Si les intellectuels ont succombé aux tentations de la scolastique p
15 èmes fondamentaux de la vie pratique et de la vie religieuse . « Les grandes questions gisent dans la rue », écrivait Nietzsche ; d
16 reud, n’est pas une manifestation de ressentiment religieux  ? Et leur épistémologie, le témoignage d’un refus de connaître, c’est
8 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
17 ie de la Morale — étant plutôt conforme à l’ordre religieux tel que, pécheurs, nous prétendons l’organiser pour notre usage. L’as
18 Par ailleurs, elle pourrait être aussi laïque ou religieuse qu’on voudrait. Mais l’individu a vécu. Ce mythe n’est plus à craindr
19 xceptionnels ; politiques ou privés ; profanes ou religieux  ; réfléchis ou involontaires ; intéressés ou gratuits, etc. Puis mont