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décrit des relations sociales, ou politiques, ou
religieuses
: une affectivité plus vaste, aux manifestations non moins précises,
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uissantes réalités de l’époque sont affectives et
religieuses
, et l’on ne me parle que d’économie, de technique politique et de dro
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ur lequel on n’insistera jamais assez : la nature
religieuse
de l’hitlérisme. Ce n’est plus une découverte, tous les journaux en p
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ère plus précise et ramassée la nature proprement
religieuse
du phénomène totalitaire allemand. Mesurons maintenant la naïveté des
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cette complicité elle-même procède d’une angoisse
religieuse
plus puissante que toutes les « raisons », que tous les « intérêts »
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é collective de puissance ? Devant cette volonté
religieuse
, toutes les résistances ont cédé. L’internationale ouvrière s’est eff
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s pour résoudre à leur manière propre le problème
religieux
(plus que social), qu’ont résolu, vaille que vaille, les dictateurs.
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pose l’angoisse des individus isolés, et l’appel
religieux
qui naît de cette angoisse — même s’il est encore inconscient. Toute