1 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
1 il adopte ces allures compassées, ces tournures «  religieuses  », cette servilité en face du « destin » ? Et comment pourrait-il cro
2 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
2 lus atroce encore [sic] l’idée chrétienne, l’idée religieuse l’idée même de Dieu est abolie… » Ne pouvant supporter l’idée que cet
3 t Figaro de conclure : « En terminant l’éminent religieux déclara que ce concours international avait pour but de contribuer à
3 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
4 sition de Kierkegaard et de Hegel dans le domaine religieux . Elle traduira demain l’opposition des nations collectivistes et des
4 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
5 lluminés, c’est-à-dire l’individualisme social et religieux . Calvin combat les deux tendances non point pour des raisons politiqu
6 tude qu’il prend vis-à-vis de l’Église et du fait religieux en général. Un régime est totalitaire lorsqu’il prétend centraliser r
7 on politique, ou encore en une politique d’allure religieuse . Et cela d’autant plus que la religion qu’il adopte est, comme dans l
8 débutant. La religion politique, ou la politique religieuse totalitaire, a créé le type même d’une communauté régressive, c’est-à
5 1946, Politique de la personne (1946). Préface pour l’édition de 1946
9 ; et j’ajoute une Ve partie, qui précise la visée religieuse de ma conception propre du personnalisme.) Bien sûr, après une douzai