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es d’État. Cependant, à peine libérées des dogmes
religieux
, ces masses et ces élites n’ont rien de plus pressé que de s’asservir
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ce trait : le fanatisme d’aujourd’hui n’est plus
religieux
, mais politique. L’idée que « la fin justifie les moyens » n’est plus
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ion, le logement, et jusqu’à la morale, autrefois
religieuse
. Tout vient d’Europe, tout cela fut nôtre à l’origine. Mais alors, co
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te, et le scepticisme rationnel autant que la foi
religieuse
— et c’est à tel point qu’on se demande si ce qui les gêne le plus n’