1 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
1 es d’État. Cependant, à peine libérées des dogmes religieux , ces masses et ces élites n’ont rien de plus pressé que de s’asservir
2 ce trait : le fanatisme d’aujourd’hui n’est plus religieux , mais politique. L’idée que « la fin justifie les moyens » n’est plus
3 ion, le logement, et jusqu’à la morale, autrefois religieuse . Tout vient d’Europe, tout cela fut nôtre à l’origine. Mais alors, co
4 te, et le scepticisme rationnel autant que la foi religieuse  — et c’est à tel point qu’on se demande si ce qui les gêne le plus n’
2 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. II
5 tiques, administratifs, culturels, linguistiques, religieux , qui n’ont pas les mêmes frontières, et qui se recoupent de cent mani
3 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
6 il ait, dans plus d’un esprit, de fortes attaches religieuses ), il faut bien qu’il travaille avec ceux qui l’acceptent pour des rai
4 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. IV
7 u-delà de nos divisions actuelles, linguistiques, religieuses , et politiques, une entité européenne bien vivante, un sentiment comm
8 même de nos diversités nationales, doctrinales et religieuses , est celle d’un commun héritage de civilisation chrétienne, de valeur