1 1962, Les Chances de l’Europe. I. L’aventure mondiale des Européens
1 d’apports successifs intellectuels, techniques et religieux , créés en Mésopotamie, en Égypte et en Phénicie et de là transférés e
2 ée. Premier mouvement : concentration des valeurs religieuses et culturelles du Proche-Orient dans la péninsule d’Occident. Nous av
3 vrer Jérusalem. C’est tout un arrière-plan de foi religieuse , de chances et de malchances géographiques, d’ambitions impériales, d
4 e l’expansion séculaire, économique, politique et religieuse , d’un petit cap de l’Asie rongé de mers et de Turcs, qui occupe moins
2 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
5 es essentielles de notre civilisation. Un service religieux , une séance au conseil municipal, une heure de classe, les discussion
6 Les trois noms qui dominent aujourd’hui la pensée religieuse de l’Amérique, sont ceux de Jacques Maritain, de Paul Tillich et de K
7 tienne qui renverse le cours suivi par l’histoire religieuse depuis plus d’un millénaire. Le développement de la liturgie chez les
8 ntés, fécondés par une doctrine et une inquiétude religieuse , par des formes de pensée d’où sont issues la science et la technique
3 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
9 s. Tous les quatre émanent d’esprits profondément religieux , et donc « œcuméniques » au sens qu’a pris ce terme de nos jours, imp
4 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
10 contexte de ses origines raciales, politiques et religieuses . Nous savons tous aussi comment s’est opérée sa diffusion mondiale dè
11 s-uns de nos slogans, mais non pas l’arrière-plan religieux , philosophique et culturel qui a permis non seulement les sciences et
12 , des prétentions à l’exclusivité dans le domaine religieux , un fanatisme idéologique, un athéisme arrogant, le culte du cynisme,