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ne sorte de lettre pastorale ! Et pourtant, je le
relis
et je me frotte les yeux… Comment croire que ce ton badin, ces potins
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lancolie cultivée par l’ermite de Vaucluse. Qu’on
relise
les sommaires analytiques joints par un éditeur zélé à la troisième é
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vie, n’est dupe de la « religion » d’amour. Qu’on
relise
la grande lettre de Julie mariée (IIIe partie, lettre XVIII), analysa
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crit ! (Et c’est cela qui se passe aussi quand je
relis
Otto Rahn sur Montségur ou Luigi Valli sur Dante, ou Ferdinand de Sau