1 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
1 mêlées de la manière la plus complexe à la grande renaissance mystique. D’autre part, elles trouvaient des complaisances profondes
2 récision les voies et moyens historiques de cette renaissance de l’Éros. Or nous avons déjà fixé sa date : vers le milieu du xiie
3 es quelques siècles de culture qui succèdent à la renaissance carolingienne. Ou bien tout cela « tombe du ciel », c’est-à-dire jail
2 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
4 man de Rousseau à proprement parler n’est pas une renaissance du mythe primitif de Tristan. Il n’a pas la violence sauvage de la lé
5 de ne point multiplier les preuves de l’évidente renaissance du thème courtois — donc de l’amour réciproque malheureux — chez tous
6 e. (Raynouard et Fauriel venaient de provoquer la renaissance des études romanes.) « Singulière civilisation », dit-il. Et il rêve
7 nions pour un printemps de l’instinct et pour une renaissance des forces dionysiaques persécutées par un soi-disant christianisme.