1 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 2. Sécularisme
1 pense pas qu’il y ait lieu de se féliciter de ces renaissances , plus que de déplorer la décadence des anciennes formules du sacré. D
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 5. Un langage commun
2 ommes-nous en présence des germes d’une véritable renaissance liturgique, ou seulement de reviviscences sporadiques, accidentelles
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 7. Théologie et littérature
3 le succès. Il y aurait tout et tant à dire sur la renaissance endémique, dans nos écoles d’avant-garde, des déviations les plus con
4 e et le lyrisme élisabéthains ; et parmi nous, la renaissance notable d’une poésie d’inspiration religieuse en France, pendant l’oc
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
5 et, n’hésitons pas à le dire, une vocation. 4. La renaissance liturgique qui va de pair, dans toutes les Églises, avec l’effort œcu
6 science normale. Du point de vue sociologique, la renaissance liturgique, favorisée par le mouvement œcuménique, marque l’avènement
5 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
7 me. Je les énumère à nouveau et les complète : la renaissance des études bibliques et les traductions de plus en plus populaires du
8 missel en vernaculaire chez les catholiques ; la renaissance de la liturgie et du sens de l’Église chez les protestants ; la décou