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personnalisme (1974)a Comment nous sommes-nous
rencontrés
? Rien de plus difficile à établir. J’ai tenté récemment de confronte
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t 94 : Chez Charles Du Bos à Versailles, j’avais
rencontré
un personnage d’aspect massif, courtois et souriant, dont l’accent ru
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cruciales Alexandre Marc. ⁂ Que nous nous soyons
rencontrés
grâce à mon ami Max Dominicé, alors pasteur à Belleville, ou (comme j
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et le théâtre Alfred Jarry (avec Artaud) avant de
rencontrer
Dandieu : le contraste de ces deux personnalités complémentaires fera
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ustrielle et technique. Mais toutes les deux vont
rencontrer
dans un temps calculable leur limite. Déjà, leur succès même commence
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fiance à l’égard des trop grandes sociétés qui ne
rencontrent
jamais le barrage d’un pouvoir régional quelconque, d’une autonomie r
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e, qui n’ont plus de rues où les gens puissent se
rencontrer
, depuis que les places sont devenues des parkings, et que les rues so
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physiques où se formait l’opinion, où les gens se
rencontraient
, où ils formaient spontanément des groupes, où l’on pouvait parler à
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ariat des Suisses à l’étranger. Comment avez-vous
rencontré
André Breton ? Je l’ai vu pour la première fois à New York en 1941, à
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oup de foudre d’amitié. Nous avons décidé de nous
rencontrer
souvent, avec d’autres artistes et écrivains surréalistes venus d’Eur
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! tonna-t-il. Et je me réjouis de ne plus jamais
rencontrer
sur mon chemin votre sale gueule de faux témoin ! » Le malheureux sor
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rk pendant la dernière guerre, au cours duquel il
rencontra
André Breton, Marcel Duchamp et leurs amis. D’une conversation enregi
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cteurs des plus grands festivals l’occasion de se
rencontrer
, de se connaître, et d’échanger une ou deux fois par an leurs problèm
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est votre affaire (11 octobre 1977)bs bt J’ai
rencontré
Denis de Rougemont dans sa maison de Pouilly, tout près de la petite
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dialoguer, se concerter, s’aider mutuellement, se
rencontrer
, s’aventurer, se perdre et se trouver parmi les autres, s’opposer sur
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pour, en 1973, est l’endroit où Ford et Hitler se
rencontrent
. Résultat : l’embargo, la crise de l’énergie, la peur des lendemains