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Jaloux. Et peut-être que la comtesse Rezzovitch a
rencontré
M. Paul Morand, mais elle a dû le trouver un peu froid, n’aura pas ét
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ue. Et puis, tout de même, on est bien heureux de
rencontrer
chez les jeunes écrivains français un homme qui ait à ce point le sen
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a vie, — à ce qu’on appelle la vie. Jaloux, qui a
rencontré
plusieurs fois Rilke, trace de lui un portrait qu’on dirait, en peint
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la vie. Le hasard, complice des poètes, lui fait
rencontrer
des êtres bizarres avec lesquels il n’hésite pas à faire un bout de c
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bains, car c’est dans la piscine que nous devons
rencontrer
le poète. Cheveux noirs d’aigle collés sur son large front, belle car
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tes avec, aux jambes, l’imperceptible angoisse de
rencontrer
une onde trop légère. Mais pour connaître un lac, il faut d’abord s’y