1 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). « À cette heure où Paris… » (17 juin 1940)
1 Qu’ils fassent dix fois le tour du monde ! Ils ne rencontreront partout que le fracas du néant mécanique. Jusqu’au jour bien plus ter
2 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
2 i, à Berkeley, ils sont plus de 25 000. Je vais y rencontrer une bonne trentaine de professeurs, en tête-à-tête ou en groupe, déje
3 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
3 e : or, les impasses et les paralogismes qu’ils y rencontrent semblent les confronter désormais à des options métaphysiques. Je ne
4 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Stampa, vieux village… (15-16 janvier 1966)
4 ore, chez Lipp, depuis vingt ans et plus qu’on se rencontrait , je ne l’avais jamais vu dans sa réalité et nous n’avions presque rie
5 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). André Breton à New York (8-9 octobre 1966)
5 je tenais alors.) Deux jours plus tôt, je l’avais rencontré à l’Office of War Information, où je venais de prendre un poste. J’éc
6 arisiennes, nous n’ayons pu, ou cru pouvoir, nous rencontrer . « Ce sont de ces conneries ! Et que l’on expie ! » (Beaucoup de lui
7 e dit souhaiter que nous puissions désormais nous rencontrer « mécaniquement en quelque sorte ». L’OWI eut ceci de bon de nous en
8 n eût dit nées des comédies de Shakespeare. On se rencontrait chez l’un ou l’autre, faute de terrasses de café, une ou deux soirées
6 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Entretien avec Denis de Rougemont (6-7 avril 1968)
9 textes déjà publiés un bon quart d’inédits. J’ai rencontré Denis de Rougemont dans sa maison de Ferney-Voltaire, qui est comme l