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e et des gants beurre-frais. Ils ne tardent pas à
rencontrer
une jeune femme qui leur fait perdre toute mesure. Le monde est plein
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ement posée : pour devenir chrétien, il fallait «
rencontrer
personnellement le Christ ». Mais comment cette rencontre pouvait-ell
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u qui vient à nous, impies, non point nous qui le
rencontrons
au terme d’une pieuse « élévation ». Et c’est le mystère du Dieu-homm
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’est qu’ils s’efforcent d’endoctriner ceux qu’ils
rencontrent
. Le « partage » préconisé par Buchman ne ressemble pas à ces tentativ
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ne bête curieuse, dit-elle. On croirait que tu as
rencontré
un ours ! » C’est Anna Svärd, la femme que Dieu lui envoie, qu’il épo
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Journal d’un intellectuel en chômage , quand je
rencontrai
Abetz. Il m’offrit de passer un an en Allemagne en me disant : « Vous
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pert sur les choses de l’amour. Quand les gens me
rencontraient
ils me disaient : « C’est vous l’auteur de L’Amour et l’Occident ?