1 1938, Articles divers (1938-1940). Le Relèvement de l’Allemagne (1918-1938) par Albert Rivaud (28 octobre 1938)
1 polémiques au sujet des salaires russes nous ont rendus méfiants, à juste titre. De même, page 364, on nous dit d’abord que «
2 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
2 our moi foudroyant. Je me souviens qu’avant de me rendre à cette réunion, j’avais dit à quelqu’un : « Vous y croyez, vous, à l
3 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
3 t toute activité libre et spontanée, l’Église lui rend sa dignité humaine d’individu et son rôle actif de persona. Spirituel
4 ière que par cela je ne sois nullement empêché de rendre à Dieu le service que je lui dois par ma vocation. » C’est à ma conna
4 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
5 éaliser un spectacle de cette envergure, et de le rendre populaire. Ce sont les conditions proprement suisses, et plus précisé
5 1940, Articles divers (1938-1940). Les Suisses sont-ils « à la hauteur » de la Suisse ? (20 janvier 1940)
6 privilèges considérables, il s’agirait de nous en rendre dignes, avant même que de les défendre. Le seul moyen de conserver un
6 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. III : Pourquoi nous devons rester neutres (9 mars 1940)
7 entière. Seule, la mission positive de la Suisse rend un sens et un poids aux arguments que nous jugions tout à l’heure ins
7 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. IV : Notre « mission spéciale » (16 mars 1940)
8 tive vis-à-vis de l’Europe. Ce sont les faits qui rendent insuffisantes nos justifications par l’intérêt. De par notre situatio
9 -à-dire à le mieux réaliser, d’une manière qui le rende exemplaire, au sens littéral de ce mot. Profitons de notre paix matér
8 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
10 39 Combien oseraient avouer que cette menace leur rend enfin le goût de vivre ? Privilégiés qui n’éprouvent de désir pour le
11 , qu’il ne soit pas perdu pour tous, c’est ce qui rend sa perte insupportable à qui croyait le posséder. Nos haines… Pourquo
12 emain. Et voici que soudain, un « à venir » m’est rendu , un rythme heureux du temps, pour vingt-quatre heures, une plénitude
13 notre vie, jusqu’à la mort, — sinon l’espoir d’un rendez -vous au-delà du monde, et l’entretien de son attente ardente ? Si j’y
9 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure de la Suisse (1er août 1940)
14 mission confédérale, et notre volonté de nous en rendre dignes. Mais voici le message du 1er août de cette année : le péril o
15 e croit à son avenir, à sa mission — qui seule la rend indispensable aux autres peuples de l’Europe. Le chef-d’œuvre que rep
16 à la hauteur de l’idéal forgé par notre histoire. Rendons la Suisse digne d’elle-même, et rendons-nous plus dignes d’elle ! Com
17 histoire. Rendons la Suisse digne d’elle-même, et rendons -nous plus dignes d’elle ! Comment ? Je voudrais vous le montrer sans
18 eut-être usés déjà, mais auxquels notre situation rend un pouvoir. Notre force est dans notre union. Or, pour s’unir, il fa
19 de la Suisse : l’un ne va pas sans l’autre, l’une rend l’autre possible. Les sacrifices, nous devons commencer par les faire
10 1940, Articles divers (1938-1940). Un fondateur de la Ligue du Gothard part pour quatre mois aux États-Unis : M. Denis de Rougemont nous dit… (23 août 1940)
20 couvert depuis quelques jours et qui vient d’être rendue officielle. N’y voyons pas, comme certains se hâteront de le faire, u
11 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
21 pitre : “Autocritique de la Suisse”, désirant les rendre attentifs (car nous nous sentons pressés de le faire) à la valeur cap