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en toute autre région de la planète. Mais il faut
rendre
ici au mot de culture son sens le plus large et humain. La culture vé
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re, pour l’avoir lue dans une centaine de comptes
rendus
de nos réunions et de nos congrès, et c’est celle-ci : « Nous ne pouv
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r ses nations, unir leurs forces dispersées, leur
rendre
un grand marché en supprimant les douanes, et créer des pouvoirs euro
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sentiment, lui donner des moyens d’expression, le
rendre
enfin conscient et agissant. Telle est la tâche vitale que voudrait a
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puissances comme étant « nécessaire à l’Europe »,
rend
difficile, pour le moment, notre pleine participation aux conseils po
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r nos nations, unir leurs forces dispersées, leur
rendre
un grand marché en supprimant les douanes, et créer des pouvoirs euro
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mer, de lui donner des moyens d’expression, de le
rendre
conscient et agissant. Telle est la tâche dont le congrès de La Haye,
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débarrassée de ses frontières étatiques, enfin «
rendue
dans toute son étendue à la libre circulation des hommes, des idées e
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e une société, il ne commence pas toujours par la
rendre
folle, il se contente parfois de l’endormir. Je veux dire qu’il surch
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souci est général dans nos pays. Tout le monde se
rend
parfaitement compte que l’avenir de l’union européenne dépend en prem
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perdu. ⁂ Mais en retour, sans une culture active
rendue
à l’efficacité, l’Europe ne peut recouvrer la puissance. Elle sera pe
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ent, sur la route et la terre des hommes, prêts à
rendre
nos comptes « d’hommes nouveaux, — d’hommes entendus dans la gestion