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auté dans une certaine direction en tâchant de la
rendre
acceptable par le plus grand nombre de citoyens, de créer une espèce
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bre arbitre, nous aveugle, nous enchaîne, et nous
rend
irresponsables. L’Avenir est notre affaire peut se définir comme u
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l’exemple de l’énergie nucléaire, qui est censée
rendre
les pays indépendants quant à leurs ressources énergétiques. Dans le
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on de la région est la commune qui doit savoir se
rendre
autonome, qu’il s’agisse de bâtir une école, de lutter contre spécula
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de retrouver les simples joies et les espoirs qui
rendent
la vie digne d’être vécue. Je vais vous dire maintenant quelque chose
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notre congrès : 1) Nous voulons une Europe unie,
rendue
dans toute son étendue à la libre circulation des hommes, des idées e
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es outils qui prolongent le bras de cet homme ; à
rendre
présent et pesant le cadre matériel de sa vie ; à suivre enfin, comme
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gne en nous, ajoute-t-il, il nous faut d’abord le
rendre
présent, l’anticiper, se demander : « Que puis-je faire ? » avant « Q
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lvan, sutsilvan, surmiran et deux ladins. Il faut
rendre
à toutes les régions de l’Europe, celle de l’Est comme celle de l’Oue
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catastrophes. La formation du citoyen consiste à
rendre
conscient de ses devoirs envers lui-même et de ses responsabilités en
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tous. La formation civique n’a d’autre fin que de
rendre
chaque individu conscient de la personne qu’il peut devenir, à la foi
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s entendons une offre plus riche de ces biens qui
rendent
la vie plus digne et humaine, et qui s’expriment par la santé d’un pe
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quer que c’est le rayonnement de l’Europe qui l’a
rendu
tel, et qu’il exprime l’une des ambitions les plus constantes de l’es
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’Europe, suspendue tout entière au pétrole, s’est
rendue
absurdement vulnérable aux caprices de quelques émirs. Aucun de nos p
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n-région devait donc l’affecter tôt ou tard et le
rendre
à lui-même dans un ensemble, garant de son autonomie. Et c’est bien c
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lution profonde du temps2 tend au contraire à les
rendre
insensibles, serait commettre en bonne doctrine fédéraliste, une doub
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la plus proche [Ndlr]. aj. « Cet amour qui nous
rendrait
la liberté », Le Sauvage, Paris, n° 63, mars 1979, p. 8-9.
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e une sphère finie et que rien au monde ne pourra
rendre
plus grande qu’elle-même, pouvait au contraire être exploitée indéfin
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culture peut être définie simplement comme ce qui
rend
la vie digne d’être vécue. » C’est profond, c’est subtil, c’est sûrem
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’oubli ? Et de quel droit déciderait-il de ce qui
rend
la vie digne d’être vécue, sans se classer dans le camp des totalitai
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solutions aux problèmes qu’on vient de citer sont
rendues
difficiles ou impossibles du simple fait que l’État-nation se veut so
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e production locale et de distribution d’énergie,
rendus
insolubles par les prétentions des grandes centrales nationales ; lut
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C’est un hommage que l’obsession de la puissance
rend
aux conditions de la liberté. Mais la décentralisation décrétée par l
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it aisément vérifiable que seule la frontière les
rend
insolubles, voici qui enseigne la région, convainc de sa nécessité, r
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), peuvent faire l’objet de schémas ou de graphes
rendus
familiers par les rapports au club de Rome de J. Forrester (1971), D.
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nforcement sans précédent de l’État central. Elle
rend
possible un nouveau despotisme. Un autre auteur, autrichien celui-là
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’extrême dispersion des sources d’énergie solaire
rend
la nation pratiquement invulnérable à toute attaque massive nucléaire
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ais aussi une ascèse du solaire, que le nucléaire
rendait
impossible, impensable. Nous irons désormais vers le soleil si nous é
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s entendons une offre plus riche de ces biens qui
rendent
la vie plus digne et humaine, et qui s’expriment par la santé d’un pe
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tant reçoit une invitation de l’empereur — et s’y
rend
sur l’heure. Dès lors, tout va très vite. Citons le journal : on ne s
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, on ne peut plus indépendant, tout concourt à le
rendre
ambigu, et pas seulement dans le temps de son action. Il est remarqua
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on l’avilit en même temps qu’elle l’opprime. Elle
rend
, même après sa chute, toute liberté, toute amélioration impossible… E
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en sa maîtrise autant qu’en amitié. Vous ne nous
rendiez
pas toujours la vie facile, mais vous lui donniez plus de saveur et p
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me socialiste », c’est-à-dire le cliché bourgeois
rendu
obligatoire pour les masses populaires des pays communistes et de leu
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res de vente, etc.), pourront être enregistrés et
rendus
publics dans les moindres délais. Pour essayer de saisir l’ère nouvel
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l de la préparation à la guerre, cela contribue à
rendre
acceptable le nucléaire, et c’est ça justement qu’il faut empêcher à
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égions, c’était le dernier service que je pouvais
rendre
à la France… La France ne connaîtra pas avant longtemps de vraies rég
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dit, j’en suis très fier : « Ah celle-là, vous me
rendez
jaloux de ne pas l’avoir trouvée ! » Mais n’oublions jamais l’ambival
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Certes, ce n’est pas la technique que nous devons
rendre
responsable de ces progrès à contre-fins, mais bien une société qui r
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sse n’est pas encore amour. (Cet « amour qui nous
rendra
la liberté », comme le dit une chanson populaire et sublime.) b. Quan
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a plus le temps de goûter, et qu’on ne pourra lui
rendre
, même au prix de milliards de bits à la seconde. « Jusqu’au jour où l
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en général, le tout dans un langage que l’on aura
rendu
systématiquement incapable de communiquer l’inexprimable. Dans ce sen
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s synapses se développent jusqu’à cet âge) on les
rend
paresseux du cerveau, qui peut s’atrophier comme les jambes de ceux q
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dés, enfin les lettres de l’écriture ». Theuth se
rendit
auprès du roi Thamous qui résidait à Thèbes, et lui présenta ses inve
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sée ? Nous sommes sur le seuil d’une civilisation
rendue
fragile par quantité de facteurs virtuellement anéantissant : explosi
47
ique, des télécommunications et de l’information,
rendent
le système de plus en plus vulnérable et facile à perturber91. » Même
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les contre la personne ; et surtout parce qu’elle
rend
notre société terriblement vulnérable. Si nous pouvons encore agir su
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pondit, j’en suis très fier : « Celle-là, vous me
rendez
jaloux de ne pas l’avoir trouvée ! » En premier lieu, n’oublions jam
50
ite que ce n’est pas la technique que nous devons
rendre
responsable de ces progrès à contre-fins, mais bien une société qui r
51
esse n’est pas encore Amour (cet « amour qui nous
rendra
la liberté », comme le dit une chanson populaire et sublime) ; b) qua
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ra plus le temps de goûter et qu’on ne pourra lui
rendre
, même au prix de milliards de bits à la seconde. « Jusqu’au jour où l
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en général, le tout dans un langage que l’on aura
rendu
systématiquement incapable de communiquer l’inexprimable. Dans ce sen
54
s synapses se développent jusqu’à cet âge) on les
rend
paresseux du cerveau, qui peut s’atrophier comme les jambes de ceux q
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atisée ? Nous sommes au seuil d’une civilisation
rendue
fragile par quantité de facteurs virtuellement anéantissant : explosi
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que, des télécommunications et de l’informatique,
rendent
le système de plus en plus vulnérable et facile à perturber. »80 Mêm
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lles contre la personne, et surtout parce qu’elle
rend
notre société terriblement vulnérable. Si nous pouvons encore agir su
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que, des télécommunications et de l’informatique,
rendent
le système de plus en plus vulnérable et facile à perturber.82 » J’aj
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, comme « une connaissance qui aura pour effet de
rendre
les Égyptiens plus instruits et plus capables de se remémorer : mémoi
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pour résultat, chez ceux qui l’auront acquise, de
rendre
leurs âmes oublieuses, parce qu’ils cesseront d’exercer leur mémoire
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oires. Ce qui libère un homme est aussi ce qui le
rend
responsable vis-à-vis d’autrui. En retour, ce qui unit la communauté
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esoins les plus légitimes de notre temps. Il nous
rend
les vraies formules de la communauté vivante, celle qui rassemble les
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ai jamais, naturellement, le service qu’il nous a
rendu
. […] Au fond je suis de toujours et à jamais métaphysicien (les calvi
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es. Cette attitude, si elle se généralise, tend à
rendre
le pire seul certain. Dès maintenant, elle nous oblige à formuler cet
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la Nature et du même coup de l’homme qui en vit,
rend
ces désastres probables à court terme. C’est l’avenir de l’Humanité q
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facilitée, ni mollesse du jugement, mais justice
rendue
à l’unique en chacun. Je rejoins ici Jean Guitton, lorsqu’il écrit de