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l’occasion de quitter leur « province » pour s’y
rendre
. N’ont-ils donc rien à craindre de l’américanisme ? Pour ce qui est d
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liser les activités dont ils s’occupent, pour les
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plus économiques ou plus rentables. Mais la culture vivante vit d’imp
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9 mars 1962)n Monsieur le directeur, Le compte
rendu
de ma conférence de samedi dernier au palais de Rumine appelle deux r
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yens de les composer, de les équilibrer et de les
rendre
bénéfiques. Elle a inventé et pratiqué la libre concurrence, mais aus
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J’arrive à 11 heures au campus, pour mon premier
rendez
-vous. Labyrinthe d’allées entre des bâtiments de style mal défini, al
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t vraiment tout ce que j’en sais. La série de mes
rendez
-vous commence quelques secondes après, je n’ai plus le temps de m’inq
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nité, esprit de la cité et cosmopolitisme, et qui
rend
plus sensibles à l’oreille intérieure les arythmies annonciatrices d’
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’autre guerre mondiale, une délégation du CICR se
rend
à Rome pour essayer de sauver les blessés bombardés par les Italiens
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l’échelon mondial à l’Unesco. Tous ces services,
rendus
à son pays, aux dépens de son œuvre personnelle, avec une discrétion
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che de construire des modèles neufs pour une cité
rendue
à l’usage de l’homme. Il faut mettre en commun à l’échelle fédérale c
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pe comme allant de Gibraltar à l’Oural. L’école a
rendu
les hommes qui sont actuellement au pouvoir en Europe, incapables de
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on de mettre en exergue, à la suite de son compte
rendu
, deux citations de moi faites par M. Desmeules. À l’intention de vos