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La théologie chrétienne a-t-elle pour tâche de
rendre
acceptable le message de l’Évangile, d’en atténuer le scandale, d’int
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t-il encore ajouter à son trouble, l’aggraver, le
rendre
littéralement insupportable ? Telles étaient les questions que se pos
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nce martelante (que les traducteurs ont fort bien
rendue
, et la tâche n’était pas facile) ; de son réalisme agressif, de cette
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au calvinisme le plus strict. Par là même, il se
rend
plus directement accessible au lecteur français. Essayons de marquer
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tellectuel (le style admirable de ces pages a été
rendu
aussi bien qu’il était possible par le traducteur). Mais il ne s’agit
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urait trop insister sur l’utilité de ce livre. Il
rendra
vaines, désormais, les introductions que les différents traducteurs n
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t souvent que des acteurs. Seule la foi peut nous
rendre
actifs lorsqu’elle nous engage dans une relation concrète avec le pro
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ne voyions notre Rédempteur qui approche, et qui
rendra
, selon sa justice, oppression à ceux qui nous oppressent, et relâche
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? En rien d’autre qu’en ceci : qu’il est appelé à
rendre
témoignage « d’une part contre la forme du siècle présent ; de l’autr
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quer les raisons qui, du point de vue protestant,
rendent
ce parallèle irrecevable. Les grands théologiens de la Réforme ne son
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ure générale, une telle publication est appelée à
rendre
des services inappréciables. Elle nous place au cœur même du grand dé
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correspondent à aucun genre littéraire précis et
rendent
leur auteur difficile à cataloguer. Mais pourquoi faut-il cataloguer,
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de l’hégémonie politique de l’Europe, et même le
rendre
, à vues humaines, définitif. Au surplus, les nouveaux empires et les
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on de son « succès » le plus visible — elle s’est
rendue
plus transportable, plus acceptable et imitable qu’aucune autre. Mais
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peu d’anxiété. Il me disait : « Voudriez-vous me
rendre
un grand service ? Accepteriez-vous de céder le tour de parution de v