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les que la situation alimentaire ou la manière de
rendre
la justice. Et ce sont des slogans prétendus doctrinaires, mais non d
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u bien commun ; tandis qu’on les voit aujourd’hui
rendre
tous les problèmes presque aussi insolubles que leurs « principes » s
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x, vous votez tacitement pour la mort, et vous en
rendez
responsable. Tout tient à chacun de nous. Et nous en sommes au point
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à choisir dans un délai que la situation du monde
rend
très court. L’utopie La faiblesse générale des utopies, c’est qu
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iance des souverainetés dont nous mourons ne nous
rendrait
pas davantage la vie. Nos frontières, nos cordons douaniers, suffisen
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pe organisée. Une Europe sans barrières ni visas,
rendue
dans toute son étendue à la libre circulation des hommes, des idées,
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i précieuse, sont à tel point suroccupés, on leur
rendrait
meilleur service en leur faisant « perdre » quelques heures supplémen
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nommées des « bêtes brutes », quand elles étaient
rendues
telles, à vrai dire, par la bêtise et la brutalité des hommes. On fai