1 1946, Réforme, articles (1946–1980). À hauteur d’homme (1er juin 1946)
1 les que la situation alimentaire ou la manière de rendre la justice. Et ce sont des slogans prétendus doctrinaires, mais non d
2 u bien commun ; tandis qu’on les voit aujourd’hui rendre tous les problèmes presque aussi insolubles que leurs « principes » s
2 1946, Réforme, articles (1946–1980). Deux lettres sur la fin du monde (29 juin 1946)
3 x, vous votez tacitement pour la mort, et vous en rendez responsable. Tout tient à chacun de nous. Et nous en sommes au point
3 1948, Réforme, articles (1946–1980). L’Europe, aventure du xxe siècle (1er mai 1948)
4 à choisir dans un délai que la situation du monde rend très court. L’utopie La faiblesse générale des utopies, c’est qu
5 iance des souverainetés dont nous mourons ne nous rendrait pas davantage la vie. Nos frontières, nos cordons douaniers, suffisen
6 pe organisée. Une Europe sans barrières ni visas, rendue dans toute son étendue à la libre circulation des hommes, des idées,
4 1976, Réforme, articles (1946–1980). À propos de Concorde (21 février 1976)
7 i précieuse, sont à tel point suroccupés, on leur rendrait meilleur service en leur faisant « perdre » quelques heures supplémen
5 1980, Réforme, articles (1946–1980). Les Nations unies des animaux (13 décembre 1980)
8 nommées des « bêtes brutes », quand elles étaient rendues telles, à vrai dire, par la bêtise et la brutalité des hommes. On fai