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ui auront obtenu la victoire. Elles ne sauront la
rendre
féconde que si elles se laissent guider et inspirer par la tradition
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iable de revêtir une apparence moyenâgeuse qui le
rend
inoffensif aux yeux de la plupart d’entre nous. Car si le diable est
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it s’en empare, la contamine, la dénature, ou lui
rend
un culte obsédé. L’idéalisation romantique de l’amour dans l’époque m
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ce absolue. Or, l’absence de contraintes choisies
rend
la sexualité insignifiante, et déprime secrètement l’humanité de l’ho
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: Je ne suis Personne… La foule, c’est le lieu de
rendez
-vous des hommes qui se fuient, eux et leur vocation. Elle n’est perso
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ne au siècle des siècles. Enfin — et ceci doit me
rendre
prudent, personnellement —, le diable est l’être qui, lorsqu’une déno
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ud. Cette fuite et ce mensonge inconscients, nous
rendent
incapables de comprendre ce qui se passe dans le monde, et nous livre
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ué. Nous persistons dans notre primitivisme. Nous
rendons
responsables de nos maux les gens d’en face, toujours, ou la force de
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asse, de ses 300 millions d’habitants rassemblés,
rendus
par leur union à une prospérité qui, selon certains économistes, pour