1
colère n’en fut que plus malfaisante. L’école me
rendit
au monde, vers l’âge de 18 ans, crispé et méfiant, sans cesse en gard
2
une honte secrète qui exaspérait ce mépris et le
rendait
agressif. Mais moi, j’avais trop souffert de cette compression morale
3
nt de l’esprit et ces mythes stériles, que je les
rendis
responsables de ma perte de contact avec les réalités les plus élémen
4
s ce n’est de la part de notre Institutrice qu’un
rendu
. Car dans ce monde-là « tout se paye » comme ils disent avec une sati
5
ener : une machine qui absorbait des gentlemen et
rendait
des tommies. La machine scolaire, elle, dévore des enfants tout vifs
6
e scolaire, elle, dévore des enfants tout vifs et
rend
des citoyens à l’œil torve. Durant l’opération, tous les crânes ont é
7
tes ses formes, traduit tout en relations et veut
rendre
toutes relations conscientes, c’est-à-dire, pour lui, calculables, ch
8
naturel. La culture de notre force de pensée nous
rendrait
une liberté sans laquelle nos efforts resteront vains pour instaurer