1 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
1 à l’actif du régime hitlérien le fait d’avoir su rendre la presse ennuyeuse. Car elle est ennuyeuse, tout le monde le dit ; e
2 s ou à des coureurs cyclistes. Toutes ces raisons rendent la presse allemande assommante pour le grand public. Les tirages bais
3 d a vu que l’existence de la presse quotidienne «  rend le christianisme impossible ».) De plus, ces journaux « mis au pas »
4 là bien mes Allemands ! Au début, par désir de se rendre sympathiques, par générosité ou maladresse, ils font des offres trop
5 ctrice. Tout l’effort de la civilisation est là : rendre féconds les conflits nécessaires. Et non pas aboutir à la suppression
6 rce qu’ils n’ont point d’idées là-dessus. Ceci me rend attentif à une erreur que nous commettons fréquemment, nous qui regar
7 Que l’esprit redevienne passible de prison : cela rendrait un peu de sérieux aux esprits libres » — j’écrivais cela, il y a deux
8 st cela justement qui est sérieux ! Le témoignage rendu à Dieu quand Dieu le veut et que les hommes l’interdisent, ah ! ce n’
9 plus gouverner s’il n’usurpe les droits de Dieu. Rendre à Dieu ce qui est à Dieu, cela s’appelle alors du sabotage, et cela c
10 veau Reich, la communauté recréée, les usines qui rendent à plein, l’armée motorisée, la liberté reconquise… Ce drame est visib
2 1938, Journal d’Allemagne. Conclusion 1938
11 ois que certains événements se sont chargés de me rendre encore plus clair, et sur lequel on n’insistera jamais assez : la nat
3 1938, Journal d’Allemagne. Les jacobins en chemise brune
12 nation allemande : celle de la race. Mais pour la rendre populaire, il faut la lier à des passions que l’on puisse exciter imm
13 qu’il est trop tard. Désespérer de la paix, c’est rendre une guerre fatale. Désespérer de la révolution fédéraliste, c’est dés