1 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
1 ter sa dette, mais l’accusé, que voilà, refuse de rendre le jardin, disant qu’il s’agissait non pas d’un prêt mais d’un achat.
2 et homme est un bon citoyen. J’en témoigne ! Il a rendu de grands services à sa commune et au canton. Un assistant. —  C’e
3 ar ce sont des démons, et non des hommes, qui ont rendu cette sentence inique ! Je les ai vus ! Et j’ai senti la flamme qui s
2 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
4 Le chant du monde éclate à leurs oreilles et les rend sourds au cri du vieux guetteur ! Chœur des puissances. (Plan 1.)
3 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
5 phe du parti des conquêtes. L’or de Bourgogne les rend fous, tous ceux des villes ! S’ils gagnent, croyez-moi, ce sera la fi
6 —  L’avidité de la puissance et des richesses les rend fous. Que peut-on faire entendre à des fous ? Haimo. —  Ils n’ente