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t toute activité libre et spontanée, l’Église lui
rend
sa dignité humaine d’individu en même temps que son rôle actif de per
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ière que par cela je ne sois nullement empêché de
rendre
à Dieu le service que je lui dois par ma vocation. » C’est à ma conna
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nt souvent composés de poisons… 12. Cette devise
rend
un son « suisse » à mon oreille. Et c’est ici le lieu de le rappeler
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plus ou moins, dans la manie des primitifs : nous
rendons
responsables de nos maux — les autres, uniquement les autres, ceux d’
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émission, et non pas des fatalités objectives qui
rendraient
vaine toute action personnelle. Il n’y a de loi, répétons-le, que là
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ller au terme de sa pensée, jusqu’à l’acte qui la
rend
sérieuse. Refaire un monde et une culture sur la base de la diversité
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ais qu’elle nous donne au moins la possibilité de
rendre
un sens aux conflits éternels — un sens, et s’il se peut, une fécondi
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ser l’ordre politique existant mais à donner ou à
rendre
à cet ordre une signification qui le maintienne vivant et pur contre
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s. Mais avant toute action précise, il importe de
rendre
à notre peuple le sens d’un destin qui le dépasse. Petit peuple charg
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ilège aussi considérable, il s’agirait de nous en
rendre
dignes, avant même que de le défendre. Le seul moyen de conserver un
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entière. Seule, la mission positive de la Suisse
rend
un sens et un poids aux arguments que nous jugions tout à l’heure ins
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, c’est-à-dire à le réaliser d’une manière qui le
rende
exemplaire au sens littéral de ce mot. Profitons de notre paix matéri
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cessité à celui de la liberté. Cet acte seul nous
rend
humains et nous maintient à hauteur d’homme. (Pas question de monter
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nore pas les services décisifs que cette classe a
rendus
au pays, par ceux d’entre les siens qui y ont rapporté les richesses