1 vants domine tout. Leur mauvaise conscience les a rendus prudents et sages. Ils se sentent accusés sourdement d’avoir causé 20

2 -il, devant une commission parlementaire, loin de rendre l’armée superflue, ne peut qu’augmenter l’importance des troupes de t

3 je n’y entends rien ni vous non plus, et j’ai des rendez -vous urgents. Mon rendez-vous à moi est pris avec l’époque. Je vois q

4 us non plus, et j’ai des rendez-vous urgents. Mon rendez -vous à moi est pris avec l’époque. Je vois que la mort en masse l’att

5 , et les porte à la saboter. Leur métier même les rend inaptes à voir ce que le monde entier attend. Ils ne voient rien, c’e

6 , et qu’une erreur unique, désormais, pourrait la rendre folle à tout jamais.

7 als, nécessaires et surhumains, aussitôt nous les rendrons tels, aussitôt nous cesserons d’être libres. Et l’État aura tous les

8 onté qu’ont les États-nations ainsi formés, de se rendre autarciques en vue de la guerre, soit qu’ils redoutent ou souhaitent

9 e l’infanterie, dit un général d’infanterie. Elle rend les armées de terre inutiles, réplique un amiral, mais elle décuple l

10 Le fait est que l’invention de la poudre, loin de rendre inutiles leurs services, a permis la guerre de Trente Ans. Et je vois

11 raisons d’apparence mystérieuse refuse-t-on de se rendre à de telles évidences ? Et d’en tirer les conclusions urgentes ? Je s

12 t que nous sommes portés par cette passion à nous rendre sourds et aveugles devant tout ce qui menace de la rendre impossible.

13 ourds et aveugles devant tout ce qui menace de la rendre impossible. Ainsi nous défendons l’idée de nation souveraine parce qu

14 x, vous votez tacitement pour la mort, et vous en rendez responsable. Tout tient à chacun de nous. Et nous en sommes au point