1 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
1 ur les services (adjectif variable) que vous avez rendus à l’Administration. Les circonstances m’obligent, etc. Mais je serai
2 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
2 es propos. Elle a le génie de ne rien dire qui la rende plus réelle qu’une image. Ne serait-ce pas là son secret ? Se prêter
3 s s’agiter sur l’écran comme des ludions qui nous rendraient visibles les mouvements délirants de l’Inconscient moderne. Battus co
4 du monde, je veux dire les plus efficaces dans le rendu et la « couleur ». Je vois aussi que vos romanciers empruntent à leur
5 ystère humain peut être mieux saisi par un compte rendu décousu que par une patiente analyse. Au désir latin de comprendre af
6 des idées, transmet une qualité unique qui seule rend efficace l’acte d’écrire. Peut-être s’agit-il tout simplement de savo
3 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
7 notre littérature prétendument « spiritualiste » rend un culte sentimental : comme si la « poésie des travaux ménagers » ne
8 ndort et le semonce. Au culte qu’il est censé lui rendre , elle répond dans le meilleur des cas par cette espèce de loyauté que
4 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
9 des accidents insensés, que rien au monde ne peut rendre acceptables ou justifiables. L’idée que la souffrance puisse devenir
10 faible. J’ai vu des Français, à New York, qui se rendaient ridicules au dernier point en affectant l’allure qu’on attribue chez
11 En France, les partis s’arrangent en général pour rendre tous les problèmes aussi insolubles que leurs principes respectifs so
12 t édifice d’inconscience que chacun s’ingéniait à rendre étanche, — inconsciemment. Ce sont là des secousses extérieures. Qui
13 térieures. Qui sait si une loi de l’esprit ne les rend pas d’autant plus fortes et fréquentes que les poussées intimes de la