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certains événements. L’émotion de pareils revoirs
rend
souvent malaisé l’échange de la parole, mais donne aussi parfois, au
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i, empêcher à tout prix la guerre. Et c’est aussi
rendre
inutiles les mitraillettes de la révolution et les fusillades massive
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ociales ne sont rien si elles n’aboutissent pas à
rendre
chaque individu plus libre dans l’exercice de sa vocation. L’homme es
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es vainqueurs n’ont eu rien de plus pressé que de
rendre
aux vaincus leur pleine égalité de droit. Et de cet acte de renonceme
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ribuent nos voisinages en même temps qu’elles les
rendent
plus étroits. L’Europe est plus petite que nous ne pensions, le monde
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ou ne sait y répondre assez tôt. Mais rassemblée,
rendue
à sa vraie vocation, dans le monde des empires affrontés, l’Europe co
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à choisir dans un délai que la situation du monde
rend
très court. La faiblesse générale des utopies, c’est qu’elles sont en
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ance des souverainetés dont nous mourons, ne nous
rendrait
pas davantage la vie. Nos frontières, nos cordons douaniers, suffisen
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pe organisée. Une Europe sans barrières ni visas,
rendue
dans toute son étendue à la libre circulation des hommes, des idées,
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fficacité, mais c’est le climat européen seul qui
rend
la vie dangereuse, aventureuse, magnifique et tragique — et, par là,
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inal du Congrès : « Nous voulons une Europe unie,
rendue
dans toute son étendue à la libre circulation des hommes, des idées,
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pieuses, hommage que le cynisme prétendu réaliste
rend
à l’esprit prétendu pas sérieux. Ceux qui vous ont invités à ce congr
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vain d’essayer de s’unir si l’on n’a pas d’abord
rendu
leur sens commun aux mots-clés du débat historique qui met en jeu not
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at historique qui met en jeu notre vie même. Pour
rendre
leur plein sens et leur force d’appel aux termes de liberté, d’homme
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ée dans les nouvelles générations. Elle doit être
rendue
de plus en plus consciente de l’unité profonde de l’Europe et de la r
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onclusion : l’universalisme européen 14. Une fois
rendue
plus consciente d’elle-même, de ses ressources infiniment variées et
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notre Congrès : 1) Nous voulons une Europe unie,
rendue
dans toute son étendue à la libre circulation des hommes, des idées e