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e, sociale, économique, c’est-à-dire une Europe «
rendue
dans toute son étendue à la libre circulation des hommes, des idées e
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égislateurs et saints. Nous pensons que tout cela
rendra
la vie meilleure. Nous nous trompons peut-être, mais nous le pensons,
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e l’individu, toute l’opération ayant pour but de
rendre
les croyances, conduites et réflexes, conformes aux canons religieux
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de l’hégémonie politique de l’Europe, et même le
rendre
, à vues humaines, définitif. Au surplus, les nouveaux empires et les
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n de son « succès » le plus visible —, elle s’est
rendue
plus transportable, plus acceptable et imitable qu’aucune autre. Mais
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pect du réel et de ses infinies complexités enfin
rendu
possible par la technique moderne. Ce débat n’est pas d’aujourd’hui.
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. « Buy British ! », « Achetez français ! », cela
rend
un son patriotique et « vertueux » au sens jacobin. C’est pratiquemen
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e d’une biologie marxiste. Ces excès doivent nous
rendre
attentifs à l’usage courant qu’ils prolongent. Si nous croyons qu’il
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che de construire des modèles neufs pour une cité
rendue
à l’usage de l’homme. Il faut mettre en commun à l’échelle fédérale c
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les données mêmes du problème de l’union pour le
rendre
soluble, c’est d’abord accepter de remettre en question radicalement
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scientifique » dissimulant une démission civique
rend
le pire de plus en plus sûr. Objections tactiques « Comme s’il
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-nations. Il ne faut pas détruire l’État, mais le
rendre
utile. Il faut distribuer et répartir l’État aux différents niveaux d
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es fins transcendantes et personnelles, mérite et
rend
possible un engagement, au sens précis que je définissais dès 1932. S