1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
1 s » ! Car la métamorphose a pour effet certain de rendre tout légalisme inefficace — il n’y a jugement possible que du même —,
2 on. Bien plus, ils la provoquent, l’animent et la rendent rayonnante, au lieu que le plaisir ou la fuit, ou la tue. La sensuali
3 ntent absurde. Rien désormais ne pourra plus nous rendre le silence et la lenteur des choses. Derniers refuges, vastes auberge
4 Définition même du sentimentalisme subjectif que rend impossible la conception toute classique, objective, latine, spatiale
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
5 t la formule traditionnelle.) La liqueur de pêche rend démonstratif, dont on vide trois verres d’un trait en guise de salut.
6 et l’on sait qu’il suffit de très peu de sel pour rendre mangeable beaucoup de nouilles. Mais voici, par exemple, ce qu’il fau
7 ’est plutôt un certain arrangement des choses qui rende un certain son spirituel… Un objet de musique et de couleurs, mais au
8 somnie J’éteignais la lampe et la veilleuse me rendait compagnon d’une momie bleuâtre, mais peut-on se reposer vraiment à 10
9 commence à comprendre ce qu’il est : cela qui me rendrait acceptable ce monde.) Malheur à celui qui ne cherche pas. Malheur à c
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
10 hevaux de trait, car la nature marécageuse du sol rend les transports malaisés. Souvent, après dîner, l’on repart en voiture
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
11 er pour abstraites ont au contraire le pouvoir de rendre à nos sens leur efficacité et leur étonnement. Je regarde les feuille
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
12 t vers une place plantée d’arbres et déserte, aux rendez -vous manqués où je me retrouvais… « Je t’aime. J’aime ! » J’ai tout d
13 ais comment dormirais-je cette nuit ? J’arrive au rendez -vous après sept ans, furtivement, à la faveur d’une nuit déserte. Un
14 , furtivement, à la faveur d’une nuit déserte. Un rendez -vous dont j’avais bien souvent désespéré, après cet au revoir en juin
15 propret-coquet-scolaire-1910 que l’imagination se rend sans condition après la plus rapide reconnaissance des lieux. J’ai re
6 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
16 après jour : « Aller de l’avant ! ») L’honneur à rendre au père, selon le Décalogue, n’est pas un culte des ancêtres. Et pour
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
17  » littéraire se borne à mentionner chez nous des rendez -vous de voyageurs discrets, inaperçus et bientôt disparus. Un seul s’
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
18 ec elle. Et vraiment, à cet âge, elle me l’a bien rendu . (Quand on revient la voir à deux, plus tard, aux mêmes lieux, elle s
19 de n’éprouver jamais, bien au contraire, avant un rendez -vous ? Cette envie de crier : « J’accours ! Attends !… » Ah ! mais qu
20 s sentiers obscurs, vers les roseaux, qu’avant le rendez -vous ce qui l’avait rejoint, c’était cette chose absurde et magnifiqu
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
21 e garde ma méfiance pour l’espèce de mensonge qui rend la vie plus petite que nature, sous prétexte d’exactitude. Pays des h
22 cateurs sur une disgrâce que l’habitude risque de rendre insensible à certains. Dans ce domaine, faire attention suffirait pre