1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
1 prochain, au chef-lieu, après son culte. Je suis rentré à bicyclette, sans lumière, distinguant à peine la route asphaltée. J
2 ouleau, matériellement, et je ne prévois aucune «  rentrée  » avant la fin de janvier. J’attends encore le courrier de demain mat
3 e… 21 janvier 1934 (dans l’île) Nous sommes rentrés hier soir dans cette maison glaciale et humide. Il n’y avait plus de
4 jambes. Bon. C’est ce qu’il faut pour manger. Ils rentrent d’avoir tiré le sel et mangent la pêche. J’avais ajouté deux ou trois
5 s s’en vont à leur ouvrage, moi je reste ici. Ils rentrent vers 6 heures, les jeunes d’abord, parce qu’ils ont des bicyclettes,
6 ont des bicyclettes, ils vont plus vite ; le père rentre un peu plus tard. Le plus vieux dit : j’ai bien faim. Le plus jeune,
7 que je ne connaîtrais pas. 15 mars 1934 Je rentre de Vendée. On m’avait demandé d’y aller faire quelques causeries. J’e
8 sée, il nous faut marcher pliés en avant, et nous rentrons étourdis. Depuis plusieurs jours, le bateau n’a pas pu aborder l’île.
9 plus rien à espérer avant longtemps, en fait de «  rentrées  ». Le produit d’une traduction et de la correction d’un manuscrit nou
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
10 hambre où j’écris. Et voilà mon petit exercice de rentrée terminé : « Décrivez la maison de vos vacances… » Ajoutons que le jar
11 vente du raisin, il faut attendre sa fille qui va rentrer des champs, où elle travaille jusqu’à la nuit tombée. Nous sommes dan
12 Rien à faire : je suis un « monsieur ». La fille rentre  : une forte femme, environ 35 ans, un peu masculine. Elle nous condui
13  » À 10 kilomètres d’ici, hier au soir, pressé de rentrer , je hèle une auto. Le conducteur est seul. Il me prend volontiers. No