1 bondé dès le départ de Marseille. Une journée de rentrée à Paris. Et ce soir, me voici [venu] assister à un débat au cercle de

2 quand les canons détruisaient l’art des armes, on rentrait écœuré mais libre, et l’on exhalait sa colère dans un chant débordant

3 feuille, il vous donne quelquefois cinq sous pour rentrer en métro… Il est correct, isn’t he ? » À mon tour, j’ai craché dans l

4 mai. Et l’on m’écrit de Suisse pour me presser de rentrer . Mais là-bas, que pourrai-je bien faire ? La censure ne s’est pas rel

5 i peut marcher, est un miracle. Tu te lèves et tu rentres tranquillement par cette porte-fenêtre ouvrant sur la prairie. La mai

6 lu dix jours, à raison d’un bureau par jour, pour rentrer en possession de mes conférences, lettres, journaux intimes, coupures

7 , quand on se trouve à six ou huit dans un salon. Rentré tôt, mais n’ai rien fait qui vaille de toute la nuit. Voilà qui est c

8 e dimanche matin j’annonce subitement que je dois rentrer en ville pour une affaire pressante. En vérité j’ignorais quelle affa

9 ais quelle affaire, mais je sentais qu’il fallait rentrer . J’ouvre ma porte et j’entends le téléphone. C’est un ami qui va quit

10 tel qu’on le parle » et la passion réelle). Tonio rentre un soir de New York portant gauchement sous le bras une longue boîte

11 e dont la foule transpire ? Il faut être fou pour rentrer … Mais à l’Office, notre travail s’intensifie, et les échos nous en re

12 u. Tard dans la nuit je me retire épuisé (je dois rentrer pour neuf heures à New York), mais il vient encore dans ma chambre fu

13 e panique de me rassembler, de me retrouver, pour rentrer tout entier en Europe après ces deux années de violente dérive. 8.

14 liquetis de tiges de verre dans les highballs. Je rentre et j’aligne mes mots. Petits matins déjà doux des terrasses, moments

15 s se taisaient. New York, fin octobre 1945 Rentrée . — Mon appartement ayant été vendu pendant l’été, je dois le quitter

16 rvice vaut à lui seul le prix de l’abonnement. Je rentre , je branche mon radiateur électrique (la chambre est glacée), je m’in

17 lanchisserie, et comme je suis content de pouvoir rentrer chez moi par l’escalier qu’on monte à pied ; et surtout de ne plus vo

18 Journal d’un retour Janvier 1946 Faut-il rentrer  ? — On me dit que Mauriac a écrit : Faut-il partir ? (pensant aux jeu

19 ela de Paris et l’on ajoute que je ferais bien de rentrer , sous peine de ne pas comprendre la réalité européenne en général, et