1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
1 musique. Les petites baronnes ont froid, veulent rentrer , car elles sont sages. Dans les salons désertés du rez-de-chaussée, e
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
2 vons repassé un grand pont vibrant et nous sommes rentrés en Europe. Mais dès le lendemain, m’échappant du programme, il a bien
3 s sentimentaux qui gouverne les arguments. Ici je rentre dans mes chasses et rembouche mon cor. Macrocosme et microcosme : la
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
4 mènerai jamais, à cette heure qui serait celle de rentrer chez nous s’asseoir auprès d’un feu… — Mais non. 7 mai 1929 « J
5 nce d’une mémoire bienheureuse. 17 mai 1929 Rentré hier de Tubingue. (La tour de Hölderlin.) Dès demain, discipline de t
6 eux sœurs sont venues la chercher, et nous sommes rentrés sous le même parapluie, jusqu’à leur petite maison couverte de roses
7 ment de la pensée. J’ai vu la vie, c’est fini, je rentre en moi ; n’ai pas bougé. Le père Reinecke ferme son magazine d’un cou
8 lle était un arbre, ou bien une prairie. (Je suis rentré sans éveiller le chien. Un chaud soleil pénétrait dans la grande mais
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
9 ère devenant potentielle, la seconde actuelle. Je rentre de Francfort où nous avons tenu un congrès des jeunesses européennes.
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
10 prochain, au chef-lieu, après son culte. Je suis rentré à bicyclette, sans lumière, distinguant à peine la route asphaltée. J
11 ouleau, matériellement, et je ne prévois aucune «  rentrée  » avant la fin de janvier. J’attends encore le courrier de demain mat
12 e… 21 janvier 1934 (dans l’île) Nous sommes rentrés hier soir dans cette maison glaciale et humide. Il n’y avait plus de
13 jambes. Bon. C’est ce qu’il faut pour manger. Ils rentrent d’avoir tiré le sel et mangent la pêche. J’avais ajouté deux ou trois
14 s s’en vont à leur ouvrage, moi je reste ici. Ils rentrent vers six heures, les jeunes d’abord, parce qu’ils ont des bicyclettes
15 ont des bicyclettes, ils vont plus vite ; le père rentre un peu plus tard. Le plus vieux dit : J’ai bien faim. Le plus jeune,
16 que je ne connaîtrais pas. 15 mars 1934 Je rentre de Vendée. On m’avait demandé d’y aller faire quelques causeries. J’e
17 sée, il nous faut marcher pliés en avant, et nous rentrons étourdis. Depuis plusieurs jours, le bateau n’a pas pu aborder l’île.
18 plus rien à espérer avant longtemps, en fait de «  rentrées  ». Le produit d’une traduction et de la correction d’un manuscrit nou
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
19 hambre où j’écris. Et voilà mon petit exercice de rentrée terminé : « Décrivez la maison de vos vacances… » Ajoutons que le jar
20 vente du raisin, il faut attendre sa fille qui va rentrer des champs, où elle travaille jusqu’à la nuit tombée. Nous sommes dan
21 Rien à faire : je suis un « monsieur ». La fille rentre  : une forte femme, environ 35 ans, un peu masculine. Elle nous condui
22 » À dix kilomètres d’ici, hier au soir, pressé de rentrer , je hèle une auto. Le conducteur est seul. Il me prend volontiers. No
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Intermède
23 s une clinique parisienne de mon fils Nicolas, je rentrais chez moi Porte d’Italie vers cinq heures du matin et je me couchais t
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
24 aient en rupture de bercail. Maintenant, tout est rentré dans l’ordre, les moutons se sont apaisés, et la situation s’éclairci
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
25 bondé dès le départ de Marseille. Une journée de rentrée à Paris. Et ce soir, me voici [venu] assister à un débat au cercle de
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
26 quand les canons détruisaient l’art des armes, on rentrait écœuré mais libre, et l’on exhalait sa colère dans un chant débordant
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
27 feuille, il vous donne quelquefois cinq sous pour rentrer en métro… Il est correct, isn’t he ? » À mon tour, j’ai craché dans l
12 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
28 . Karl Barth m’écrit de Suisse pour me presser de rentrer . Mais là-bas, que pourrais-je bien faire ? La censure ne s’est pas re
13 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
29 i peut marcher, est un miracle. Tu te lèves et tu rentres tranquillement par cette porte-fenêtre ouvrant sur la prairie. La mai
14 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Intermède douanier
30 lu dix jours, à raison d’un bureau par jour, pour rentrer en possession de mes conférences, lettres, journaux intimes, coupures
15 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
31 général, quand on se trouve à huit dans un salon. Rentré tôt, mais n’ai rien fait qui vaille de toute la nuit. Voilà qui est c
32 e dimanche matin j’annonce subitement que je dois rentrer en ville pour une affaire pressante. En vérité j’ignorais quelle affa
33 ais quelle affaire, mais je sentais qu’il fallait rentrer . Je monte l’escalier quatre à quatre, j’ouvre ma porte : le téléphone
34 tel qu’on le parle » et la passion réelle). Tonio rentre un soir de New York portant gauchement sous le bras une longue boîte
35 e dont la foule transpire ? II faut être fou pour rentrer … Mais à l’office, notre travail s’intensifie, et les échos nous en re
36 e panique de me rassembler, de me retrouver, pour rentrer tout entier en Europe après ces deux années de violente dérive. Ne
16 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
37 liquetis de tiges de verre dans les highballs. Je rentre et j’aligne mes mots. Petits matins déjà doux des terrasses, moments
17 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
38 s se taisaient. New York, fin octobre 1945 Rentrée . — Mon appartement ayant été vendu pendant l’été, je dois le quitter
39 rvice vaut à lui seul le prix de l’abonnement. Je rentre , je branche mon radiateur électrique (la chambre est glacée), je m’in
40 lanchisserie, et comme je suis content de pouvoir rentrer chez moi par l’escalier qu’on monte à pied ; et surtout de ne plus vo
18 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
41 Journal d’un retour Janvier 1946 Faut-il rentrer  ? — On me dit que Mauriac a écrit : « Faut-il partir ? » (pensant aux
42 ela de Paris et l’on ajoute que je ferais bien de rentrer , sous peine de ne pas comprendre la réalité européenne en général, et