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ui-même le fantasme de l’ouvrier3. Tout mon livre
repose
sur l’idée simple de l’incarnation de la pensée, c’est-à-dire du pass
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ncompatible avec une telle idolâtrie. Ce principe
reposait
sur une « double citoyenneté » exigeant la soumission du citoyen enve
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nsable. Voilà une chose fondamentale sur laquelle
repose
toute la critique que nous avons fait de la société actuelle. Elle a
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dans le sens de la paix, c’est sur nous que cela
repose
, c’est sur notre action. Donc il faut être pessimiste : si on laisse