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re de cette admirable simplification : « Sur quoi
repose
la société ? Sur les hommes et les moyens grâce auxquels on cultive,
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énorme, mais voyez avec quelle tranquillité tout
repose
dans la lumière… » Vous avez reconnu ce ton souverain. Pour la premiè
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Toute loi qu’on découvre dans la société humaine
repose
sur le principe démissionnaire par excellence du déterminisme, qui pe
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u joues toute ta vie sur le pardon, ou bien tu te
reposes
aussi sur ta vertu. Ou bien tu vois que la question brûlante, c’est d
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her en vient, de proche en proche, à ressaisir et
reposer
avec puissance toutes les affirmations fondamentales de la Réforme :
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sophiques », et notre crainte du « fatalisme » ne
reposent
pas, le plus souvent, sur cette erreur des plus grossières ? … C. M.