1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
1 deux tilleuls, la margelle du puits à gauche, où repose une vieille chatte, le chai à droite. Au-delà de la cour, les planche
2 rmette d’obéir à sa vocation. Toute la difficulté repose évidemment sur le fait que ce minimum ne saurait être fixé au plus ju
3 . On entend le toc-toc des becs à l’intérieur. Je repose la lourde poule avec précaution, craignant qu’elle n’écrase ses petit
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
4 ns qu’ils exprimaient les lieux communs, sur quoi repose , tacitement, la vie sociale, sont aujourd’hui vidés de leur significa
5 elle, éparpillés sur une aire de quelques mètres, reposent les mâles repus, pesamment allongés au soleil. J’en compte huit, de t
6 nutile de leur demander de s’expliquer. Tout cela repose sur un vieux fonds de rites de protection très compliqués dont ils n’