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ntemps vint. — Aurai-je encore besoin du feu ? Je
reprendrai
ma pierre et me reposerai dans la fraîcheur de son éclat. Il la prit.
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sonne. Mais ses outils sont là, contre le mur. Il
reprend
le chemin de son champ. En passant au carrefour, il s’est dit : « Peu
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, et rien ne se passe. Dieu soit loué, nous avons
repris
nos sens. Certains pressentent déjà que la Bombe est en train de se d
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res stupides n’y inviteraient. Je m’interroge. Je
reprends
la question dans les termes où elle est posée : faut-il partir ? (Peu