1 ui est le trait dominant de notre époque » — pour reprendre la définition qu’en donnait ici même M. Pierre Maury. C’est à peu prè

2 s les curiosités de la couleur et de la vie. Nous reprenions toutes les mesures, tout redevenait neuf : les mots « forme », « coul

3 ui tirer dessus, — ce qui ne l’empêche pas de les reprendre ensuite, chez lui, car il professe avec fanatisme la non-résistance a

4 n obsédante que les derniers écrits de cet auteur reprennent et fignolent avec un talent disproportionné à son objet. Que Gide ne

5 ors, que de volumes à grand succès qui pourraient reprendre le titre fameux de Paul Valéry : Regards sur le monde actuel. Les gra

6 stantes — ce dernier mot est essentiel — ou, pour reprendre la phrase de Shakespeare, à une histoire racontée par un idiot » (p. 

7 ve des contraintes qui le rassurent, et où l’État reprend sa puissance. C’est Rome alors qui nous donnera le symbole éternel de

8 s malentendus et abus. L’œcuménisme n’a pas à les reprendre à sa charge. Et les peuples européens ne sont nullement prêts à se so

9 se virent contraints par le sentiment général de reprendre à leur compte le césaropapisme ou la théocratie dont ils triomphaient