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itique dont le principe de cohérence s’appelle la
responsabilité
de la personne humaine. En d’autres termes, c’est une politique dont
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an d’une fuite devant le destin particulier et la
responsabilité
de chacun. Les brigadiers de choc et les miliciens hitlériens s’indig
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ans vocation personnelle, sans démon intime, sans
responsabilité
propre, et sans racines. Elle fera des hommes inactuels, au sens étym
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it » comme on disait naguère, sans efficace, sans
responsabilité
, sans existence concrète, un spirituel tout à fait digne des éloges d
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xtérieures à l’homme. Il n’est plus assuré par la
responsabilité
de chacun, mais par le cadre policier de l’État, par l’ambiance moral
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eut connaître ce qui est. Surtout, elle prend ses
responsabilités
, et c’est cela qui est le plus nouveau et qui prouve qu’elle est en t
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de se créer un nouveau style de vie. Prendre ses
responsabilités
, c’est renoncer à justifier ses actes par le recours aux traditions o
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ui supprime l’individu, le conflit tragique et la
responsabilité
spirituelle. C’est dans cette tradition proudhonienne, et non marxist
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classe ou de parti, mais sur un sens concret des
responsabilités
personnelles. Ces refus et ces affirmations définissent l’attitude sp
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tion « qualifiée » serait libre, et placé sous la
responsabilité
de corporations régionales. Ainsi l’État se trouverait-il réduit à sa