1 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
1 ils s’efforcent de démontrer qu’ils n’ont aucune responsabilité dans l’aventure, puisqu’en somme ils ne s’aiment pas ! Q’el m’aime,
2 ée de toute espèce de lien visible avec l’humaine responsabilité . L’intervention du philtre, agissant d’une manière fatale, et mieux e
2 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
3 iscutable privant ses victimes de toute espèce de responsabilité  : « C’est Vénus tout entière à sa proie attachée », — tandis que Corn
4 dans le mythe, le « Destin » servira d’alibi à la responsabilité de ceux qui aiment, et du même coup, à celle de l’auteur. Ah ! Seign
5 resse sur l’épouse. Quant au philtre, alibi de la responsabilité , on lui donne le nom romantique de « fatalité de la passion ». Et les
3 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
6 ce destin… De la sorte, il délivre la foule de la responsabilité de ses actes, donc du sentiment oppressant de sa culpabilité morale.